I puttachji di Carl' Antò
i Puttachji de la semaine
PUTTAGHJI
Aucune relation de cause à effet
L’enseigne Auchan a, ces derniers jours, affiché des « prix en baisse » de centaines d’articles et de nombreuses « promos ». N’y voir, bien entendu, cela friserait la malveillance, aucune relation de cause à effet avec une désaffection de la clientèle qui avait le sentiment que les chiffres sur les étiquettes lui faisaient mal aux yeux, ou l’irruption de militants Core in Fronte dans la galerie commerciale de l’hyper marché Auchan Furiani pour dénoncer « la vie chère ».
Ainsi disait François Giacobbi
Revenu au pays (maire de Pau) après avoir dû renoncer à son ambition de devenir président de la République, leader d’un parti sous perfusion (le MoDem) et à la tête d’une des sinécures de la République pour politiciens ou hauts fonctionnaires en fin de course (France Stratégie, institution hier dénommée Commissariat au Plan ne servant à rien ou à pas grand-chose depuis les années 1980), François Bayrou a été remis en selle par les déconfitures d’Emmanuel Macron. Feu François Giacobbi, un des leaders de la gauche corses de la fin des années 1950 au début des années 1990, avait bien raison d’assurer qu’un homme politique n’est mort que s’il a un mètre de terre sur le ventre.
Cette « spécialiste et amie de la Corse »
Le pape François a évoqué « le risque » que « la piété populaire soit utilisée, instrumentalisée par des groupes qui entendent renforcer leur identité de manière polémique en alimentant des particularismes, des oppositions, des attitudes d’exclusion ». Dans les colonnes du quotidien Le Monde, la journaliste Ariane Chemin a écrit que le souverain pontife s’adressait aux nationalistes corses. Cette « spécialiste et amie de la Corse » ignorerait-elle que les principaux partis nationalistes ont, depuis des décennies, fait leur la notion de communauté de destin ?
Oreilles bouchées
Les appréciations peu amènes sur la corsité de Patrick Fiori que l’on peut lire sur les réseaux sociaux, font penser que des oreilles étaient bouchées quand le Pape François a mis en garde contre « des particularismes, des oppositions, des attitudes d’exclusion ».
Aucune relation de cause à effet
L’enseigne Auchan a, ces derniers jours, affiché des « prix en baisse » de centaines d’articles et de nombreuses « promos ». N’y voir, bien entendu, cela friserait la malveillance, aucune relation de cause à effet avec une désaffection de la clientèle qui avait le sentiment que les chiffres sur les étiquettes lui faisaient mal aux yeux, ou l’irruption de militants Core in Fronte dans la galerie commerciale de l’hyper marché Auchan Furiani pour dénoncer « la vie chère ».
Ainsi disait François Giacobbi
Revenu au pays (maire de Pau) après avoir dû renoncer à son ambition de devenir président de la République, leader d’un parti sous perfusion (le MoDem) et à la tête d’une des sinécures de la République pour politiciens ou hauts fonctionnaires en fin de course (France Stratégie, institution hier dénommée Commissariat au Plan ne servant à rien ou à pas grand-chose depuis les années 1980), François Bayrou a été remis en selle par les déconfitures d’Emmanuel Macron. Feu François Giacobbi, un des leaders de la gauche corses de la fin des années 1950 au début des années 1990, avait bien raison d’assurer qu’un homme politique n’est mort que s’il a un mètre de terre sur le ventre.
Cette « spécialiste et amie de la Corse »
Le pape François a évoqué « le risque » que « la piété populaire soit utilisée, instrumentalisée par des groupes qui entendent renforcer leur identité de manière polémique en alimentant des particularismes, des oppositions, des attitudes d’exclusion ». Dans les colonnes du quotidien Le Monde, la journaliste Ariane Chemin a écrit que le souverain pontife s’adressait aux nationalistes corses. Cette « spécialiste et amie de la Corse » ignorerait-elle que les principaux partis nationalistes ont, depuis des décennies, fait leur la notion de communauté de destin ?
Oreilles bouchées
Les appréciations peu amènes sur la corsité de Patrick Fiori que l’on peut lire sur les réseaux sociaux, font penser que des oreilles étaient bouchées quand le Pape François a mis en garde contre « des particularismes, des oppositions, des attitudes d’exclusion ».
