Football : l'ACA maintenue et maintenant ?
l'ACA entre maintien et montée en D1
ACA : et maintenant ?
Assuré, depuis déjà quinze jours, de son maintien-sportif- en Ligue 2, le club ajaccien reste, plus que jamais dans l’attente d’éventuels repreneurs. Mais le temps presse…
En décembre dernier, l’équipe dirigeante de l’ACA avait annoncé qu’un accord avait été trouvé avec d’éventuels repreneurs alors qu’en première instance, la DNCG avait rétrogradé le club ajaccien à titre conservatoire en raison d’une dette se montant à 7,5 millions d’euros. Qu’en est-il cinq mois plus tard alors que la dernière journée de Ligue 2 se dispute ce vendredi ? L’épisode Glenn Straub, le milliardaire américain n’aura duré que quelques semaines. Derrière, plusieurs options auraient été évoquées et deux d’entre elles, des Emiratis et un groupe espagnol, seraient sur les rangs. Pour autant, la situation se complique puisque la saison 2025-2026 se prépare d’ores et déjà avec, on le sait, un effectif à remanier (près d’une dizaines de fins de contrat, des premiers contrats pro à faire signer, d’éventuelles recrues à trouver…). En clair, le temps presse et l’on sait ce qu’il a failli en coûter à Troyes, rétrogradé puis réintégré en Ligue 2 en tout début d’exercice avec un début de championnat chaotique et une situation inversée à la faveur d’un recrutement à mi-championnat, donc de moyens financiers. Moyens dont ne dispose pas l’ACA. Et à cela s’ajoute, les nouvelles directives de la DNCG, qui risquent de mettre à mal l’ensemble du football professionnel français, à savoir l’interdiction de budgétiser les droits TV dans le prochain prévisionnel ainsi que les éventuelles ventes de joueurs non comptabilisées. Autant dire, qu’outre l’ACA, de nombreux autres clubs restent sous la menace. Le club ajaccien ponctue, pour sa part, sa 28e saison professionnelle consécutive. Avec, depuis septembre, la moitié des joueurs présents sur la feuille de matchs, issue du centre de formation, des joueurs très souvent titulaires et dont certains sont déjà sur les tablettes de clubs de l’élite, notamment le remuant Arsène Kouassi. Partis avec 15 points au lendemain du deuxième match retour à Bastia, l’ACA a réussi l’authentique exploit d’engranger 27 points en 15 matchs et de terminer aux portes du top 10. Au-delà ce qu’il en coûterait aux salariés, au centre de formation et à la ville, une sanction administrative sonnerait le glas du football professionnel dans la Cité Impériale.
Futsal : l’ACA tout près du bonheur
La saison de Futsal touche à sa fin en D1 comme en D2. Au terme d’un exercice où ils auront réalisé le carton plein à domicile, concédé une seule défaite (à Diamant) et un nul (à Coeur de Sambre), les Ajacciens sont à une victoire de retrouver la Division un, une année après l’avoir quittée. Un groupe qui a su très souvent se tirer d’affaire (nul à Coeur de Sambre à la dernière minute, retour très compliqué, victoire sur le fil face à Lyon, match très délicat à Strasbourg), gagné en maturité et signé neuf victoires consécutives, l’échéance n’est désormais plus très loin. Le club du président Michael Torre, lequel n’a pas ménagé ses efforts tout au long de la saison, n’est plus qu’à une victoire de décrocher le gros lot. Avec seulement une longueur d’avance sur Diamant, lequel enfile également les victoires, un succès est indispensable face à Saint-Henry, histoire de célébrer comme il se doit, ce retour en D1.
Ph.P.
Assuré, depuis déjà quinze jours, de son maintien-sportif- en Ligue 2, le club ajaccien reste, plus que jamais dans l’attente d’éventuels repreneurs. Mais le temps presse…
En décembre dernier, l’équipe dirigeante de l’ACA avait annoncé qu’un accord avait été trouvé avec d’éventuels repreneurs alors qu’en première instance, la DNCG avait rétrogradé le club ajaccien à titre conservatoire en raison d’une dette se montant à 7,5 millions d’euros. Qu’en est-il cinq mois plus tard alors que la dernière journée de Ligue 2 se dispute ce vendredi ? L’épisode Glenn Straub, le milliardaire américain n’aura duré que quelques semaines. Derrière, plusieurs options auraient été évoquées et deux d’entre elles, des Emiratis et un groupe espagnol, seraient sur les rangs. Pour autant, la situation se complique puisque la saison 2025-2026 se prépare d’ores et déjà avec, on le sait, un effectif à remanier (près d’une dizaines de fins de contrat, des premiers contrats pro à faire signer, d’éventuelles recrues à trouver…). En clair, le temps presse et l’on sait ce qu’il a failli en coûter à Troyes, rétrogradé puis réintégré en Ligue 2 en tout début d’exercice avec un début de championnat chaotique et une situation inversée à la faveur d’un recrutement à mi-championnat, donc de moyens financiers. Moyens dont ne dispose pas l’ACA. Et à cela s’ajoute, les nouvelles directives de la DNCG, qui risquent de mettre à mal l’ensemble du football professionnel français, à savoir l’interdiction de budgétiser les droits TV dans le prochain prévisionnel ainsi que les éventuelles ventes de joueurs non comptabilisées. Autant dire, qu’outre l’ACA, de nombreux autres clubs restent sous la menace. Le club ajaccien ponctue, pour sa part, sa 28e saison professionnelle consécutive. Avec, depuis septembre, la moitié des joueurs présents sur la feuille de matchs, issue du centre de formation, des joueurs très souvent titulaires et dont certains sont déjà sur les tablettes de clubs de l’élite, notamment le remuant Arsène Kouassi. Partis avec 15 points au lendemain du deuxième match retour à Bastia, l’ACA a réussi l’authentique exploit d’engranger 27 points en 15 matchs et de terminer aux portes du top 10. Au-delà ce qu’il en coûterait aux salariés, au centre de formation et à la ville, une sanction administrative sonnerait le glas du football professionnel dans la Cité Impériale.
Futsal : l’ACA tout près du bonheur
La saison de Futsal touche à sa fin en D1 comme en D2. Au terme d’un exercice où ils auront réalisé le carton plein à domicile, concédé une seule défaite (à Diamant) et un nul (à Coeur de Sambre), les Ajacciens sont à une victoire de retrouver la Division un, une année après l’avoir quittée. Un groupe qui a su très souvent se tirer d’affaire (nul à Coeur de Sambre à la dernière minute, retour très compliqué, victoire sur le fil face à Lyon, match très délicat à Strasbourg), gagné en maturité et signé neuf victoires consécutives, l’échéance n’est désormais plus très loin. Le club du président Michael Torre, lequel n’a pas ménagé ses efforts tout au long de la saison, n’est plus qu’à une victoire de décrocher le gros lot. Avec seulement une longueur d’avance sur Diamant, lequel enfile également les victoires, un succès est indispensable face à Saint-Henry, histoire de célébrer comme il se doit, ce retour en D1.
Ph.P.