• Le doyen de la presse Européenne

I puttachji di Carl' Antò

i Puttachji de la semaine
Carl’Antò I PUTTACHJI


Après la DSP adieu le service

Air Corsica s’est battu pour obtenir la DSP sur les lignes du bord à bord et le Paris en mettant en avant le service rendu aux usagers. Mais comme beaucoup de promesse politiques une fois obtenu ces deux DSP adieu le service. En effet les passagers du vol Marseille Bastia du 18.03.2024 prévu à 21h10 sont partis à 23h45. Les passagers du Marseille Ajaccio prévu aussi a 21h10 sont partis à 2h27. Le seul effort de la compagnie est d’avoir octroyé à chaque passager un crédit de 20 euros dans le bar de l’aéroport resté ouvert jusqu’à 21h. Ensuite les passagers ont été parqués dans la salle d’embarquement de la compagnie. Les passagers du Paris Bastia du lendemain ont été dans l’obligation de faire un tour à Ajaccio et Ajaccio Bastia en car. Sans compter le Marseille Calvi annulé. Mais il est vrai que depuis quelque temps la direction Simeoniste de la compagnie n’emploie plus que des « individus à la démarche claniste et très proche du barreau d’Ajaccio pardon Aiacciu et en attente de retraite dorée avec un salaire dépassant l’entendement. A la prochaine DSP dans 4 ans les mêmes causes produiront les mêmes effets.

Les médias ?

Apres avoir épinglé Gilles Simeoni sur le dossier du terrain de Cavallo, le canard enchaîné en remet une couche cette semaine mais cette fois sur l’homme lige des Siméonistes en l’occurrence Jean Felix Acquaviva. En effet le canard lui décerne son diplôme de menteur dans l’affaire de la commission d’enquête qui a suivi l’assassinat de Yvan Colonna. Jean Felix Acquaviva avait en effet affirmé qu’il disposait de SMS prouvant que certains préfets s’étaient réjouis de cet assassinat. On attend avec impatience les deux procès en diffamation contre notre confrère. Mais il est vrai qu’après la compagnie maritime régionale et les arts du feu du centre Corse les grands projets du député ont fait Pschitt… !

Très fâcheux

A Bastia, la place du Marché est très fréquentée par les visiteurs. La pittoresque mairie, l’église Saint-Jean, le bâti ancien dont la Maison des Viale, les terrasses des bars et des restaurants, les étals du marché alimentaire qui regorgent de spécialités gastronomiques de chez nous, sont autant d’éléments attractifs. Hélas, la place du Marché est aussi un site enlaidit par un très fâcheux aménagement urbain réalisé par la CAB (Communauté d’Agglomération de Bastia). Face à la mairie, à deux pas de l’entrée de l’église Saint-Jean, bien alignées, fixées sur des carrés de béton évoquant des piédestal : huit parties supérieures de conteneurs de déchets enterrés. Le Caire a ses Pyramides, Bastia ses conteneurs...
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