I puttachji di Carl' Antò
i Puttachji de la semaine
Wokisme petit bras
Sur le panneau du bord de Seine sur lequel « Pascal Paoli » a été ajouté à « Quai de la Corse », nulle mention qu’il a été le fondateur (Babbu di a Patria) ainsi que le dirigeant et le chef militaire élu d’un État (Generale di a Nazione corsa). Il est écrit « Homme politique » comme on le ferait pour des centaines de clanistes corses et « Général corse » comme on désignerait les généraux Sebastiani, Arrighi de Casanova (Duc de Padoue) ou Grossetti, ayant servi la France. C’est tout ! Pour nous autres Corses, le wokisme parigot joue petit bras.
Après les boulistes, les boules
Sur la place Mattei où les territoires des communes de Ville di Pietrabugnu et Bastia sont limitrophes, le nouvel aménagement des lieux est mal vécu par les riverains villais, du fait qu’il incite plusieurs marginaux à s’y incruster et que rien n’est fait pour chasser ces indésirables ou du moins les inciter à adopter un comportement convenable. Auparavant, pourtant, quelques-uns de ces riverains se réjouissaient de la perspective de la nouvelle configuration. En effet, disant être gênés par le bruit occasionné par les conversations et les sphères de métal des boulistes, pour la plupart bastiais, qui occupaient les lieux chaque après-midi, ces Villais jubilaient que le projet d’aménagement de la place ne prévoie rien pour perpétuer la pratique de la pétanque. Ils se plaignaient des boulistes. Ils ont désormais les boules.
Inconvénient technique
Le Bunifazziu est entré en service le 3 septembre dernier pour assurer la liaison Corse-Sardaigne (ligne Santa Teresa di Gallura-Bunifaziu, quatre allers-retours quotidiens toute l’année). Il s’agit d’un navire ayant été rénové dont la construction date de 1988, il s’appelait auparavant le Liburna et assurait la liaison entre le continent italien et les îles toscanes. Le quotidien La Nuova Sardegna a rapporté qu’une avarie — un « inconvénient technique » selon la compagnie Moby Lines qui exploite la ligne — a affecté le Bunifazziu dès le 6 septembre. La Moby Lines avait garanti une fiabilité des rotations. Nous avions écrit « Wait and see ». Il n’y a pas eu longtemps à attendre...
Sur le panneau du bord de Seine sur lequel « Pascal Paoli » a été ajouté à « Quai de la Corse », nulle mention qu’il a été le fondateur (Babbu di a Patria) ainsi que le dirigeant et le chef militaire élu d’un État (Generale di a Nazione corsa). Il est écrit « Homme politique » comme on le ferait pour des centaines de clanistes corses et « Général corse » comme on désignerait les généraux Sebastiani, Arrighi de Casanova (Duc de Padoue) ou Grossetti, ayant servi la France. C’est tout ! Pour nous autres Corses, le wokisme parigot joue petit bras.
Après les boulistes, les boules
Sur la place Mattei où les territoires des communes de Ville di Pietrabugnu et Bastia sont limitrophes, le nouvel aménagement des lieux est mal vécu par les riverains villais, du fait qu’il incite plusieurs marginaux à s’y incruster et que rien n’est fait pour chasser ces indésirables ou du moins les inciter à adopter un comportement convenable. Auparavant, pourtant, quelques-uns de ces riverains se réjouissaient de la perspective de la nouvelle configuration. En effet, disant être gênés par le bruit occasionné par les conversations et les sphères de métal des boulistes, pour la plupart bastiais, qui occupaient les lieux chaque après-midi, ces Villais jubilaient que le projet d’aménagement de la place ne prévoie rien pour perpétuer la pratique de la pétanque. Ils se plaignaient des boulistes. Ils ont désormais les boules.
Inconvénient technique
Le Bunifazziu est entré en service le 3 septembre dernier pour assurer la liaison Corse-Sardaigne (ligne Santa Teresa di Gallura-Bunifaziu, quatre allers-retours quotidiens toute l’année). Il s’agit d’un navire ayant été rénové dont la construction date de 1988, il s’appelait auparavant le Liburna et assurait la liaison entre le continent italien et les îles toscanes. Le quotidien La Nuova Sardegna a rapporté qu’une avarie — un « inconvénient technique » selon la compagnie Moby Lines qui exploite la ligne — a affecté le Bunifazziu dès le 6 septembre. La Moby Lines avait garanti une fiabilité des rotations. Nous avions écrit « Wait and see ». Il n’y a pas eu longtemps à attendre...