I puttachji di Carl' Antò
i Puttachji de la semaine
Puttaghji
Peinture, pinceau et botox ?
Le collectif Via Citadina et son leader Sacha Bastelica, après que le Parti Communiste ait rompu avec Jean Zuccarelli et Jean-Martin Mondoloni, est désormais disposé à faire un bout de chemin avec la faucille et le marteau à l’occasion des élections municipales. Pourtant, il y a quelques semaines, le même Sacha Bastelica avait fait dans l’ironie en évoquant « les vieux locaux » où l’avaient reçu de « vieux partis », et assuré que son Via Citadina ne voulait rien avoir à faire avec les « vieux de la vieille » de la vie politique bastiaise. Depuis, Michel Stefani et Francis Riolacci ont sans doute acheté de la peinture, manié le pinceau pour égayer le local de leur parti eu recours au botox.
Mancu Monsignore Bustillo…
Quelques « supporters » du Sporting Club de Bastia semblent décidés à expédier le club tout droit en National. En effet, après la défaite de l’équipe turchina face à Laval, ils ont incendié des poubelles à l’extérieur du stade Armand Cesari bloquant ainsi, quelques minutes, un car Visiteurs, et lancé un fumigène qui a atterri sur la pelouse à deux pas des joueurs bastiais. La Commission de discipline de la Ligue a dans le passé sévi pour moins que ça. Cum’ellu dicia u mio babbone : « Cervelu induve Cristu ùn hà messu nunda, ùn puderà mai nimu mette nunda ». Mancu Monsignore Bustillo...
S’il n’en reste qu’un...
« En politique, peut être que c'est un défaut, mais quand on quitte le navire quand ça va mal, moi j'appelle ça plutôt des rats […] Je suis plutôt de ceux qui vont rester jusqu'au bout » (novembre 2024, PuliticaMente, ICI RCFM). « Les présidents en exercice sont constamment poussés vers la sortie en fin de mandat et on reconnaît plus tard que leur bilan était positif. Je suis certain que ce sera encore le cas d’Emmanuel Macron dont je demeure fidèle » (novembre 2024, Paroles de Corse). Magnifique constance que ce soutien de Jean-Charles Orsucci, maire de Bunifaziu, à Emmanuel 1er dit « le Détesté ». C’est clair, s’il n’en reste qu’un, il sera Bonifacien...