• Le doyen de la presse Européenne

I Puttaghji de Carl' Antò

I Puttaghji de la semaine
I PUTTACHJI

L’imprévisible

Nous avions annoncé il y a plus de quatre semaines, bien avant la une du quotidien unique, l’éventuel départ du préfet Lelarge. Ne voilà-t-il pas que celui-ci, imprévisible à sa manière, le mercredi 19 décembre a mis le Palais Lantivy en émoi. En effet, il est arrivé en « jeans » pour la première fois depuis sa prise de pouvoir, les fonctionnaires en ont déduit qu’il était déjà parti. Malheureusement pour eux, ce n’est que partie remise.


On prend les mêmes et…

Nouvelle procédure dans le cadre de la fraude aux votes par procuration lors des dernières élections territoriales. Et qui s’est fait prendre une fois de plus la main dans le sac ? Un colistier de Laurent Marcangeli, le maire de Péri. Personne n’a oublié l’élection contestée de ce même Laurent Marcangeli lors des municipales à Ajaccio pour les mêmes raisons. Comme quoi le proverbe est toujours valable : « On prend les mêmes et on recommence ».


Drôle de…

Décoration pour le mérite décernée à Jean Charles Orsucci pour son action très intéressante au niveau immobilier sur sa commune de Bonifacio. Peut-être que ceux qui ont pris cette décision n’avaient pas conscience que l’Île de Cavallo fait partie de la ville de Bonifacio et en matière immobilière, le pire reste encore à venir.


À force de perdre


Les Zuccarelli en ont marre. Du reste on peut les comprendre puisqu’ils ont tout perdu en moins de lignes qu’il faut pour l’écrire. Perdu Bastia ? Oui. Perdu le mandat de député encore oui. Perdue une sénatoriale, bien sûr, toujours oui. Perdue dans des séquences politiques, la lignée légendaire condamnée pour fraudes électorales par-ci, par-là, a pourtant quelques ressources dont elle conserve quelques secrets. On va, en final, oublier l’esprit et l’idéologie de gauche, car cela provoque des défaites certaines. Oublier surtout les communistes dont Ange Rovère et ses affidés, et pour cela rebondir. Et demander à ses fidèles à voter pour le Président Macron. En 2002, Emile Zuccarelli avait soutenu mordicus Chevènement, Jospin s’en souvient et toute la gauche aussi. Macron devrait se méfier de ce soutien aussi lucide qu’inattendu. Du reste, on peut comprendre le « Milou », après avoir tant gagné pourquoi ne peut-on pas apprendre à perdre autant. San
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