Football : L'ACA pet-il encore y croire ?
La situation se complique.......
Football : L’ACA peut-il encore y croire ?
La situation se complique pour les Ajacciens, toujours scotchés dans le bas du tableau après leur défaite de dimanche dernier face à Monaco. À dix journées de la fin, dont cinq à François Coty, les Ajacciens peuvent-ils encore croire en leur bonne étoile ?
Le football ne se conjugue, certes pas, en statistiques. Pour autant, si l’on évoque le parcours de l’ACA ne serait-ce que depuis la reprise, il y a de quoi avoir peur ! Trois victoires, dont deux à domicile, et dix défaites (cinq à Coty), neuf points sur trente-six possibles engrangés, six buts marqués, vingt-six encaissés, un bilan qui se passe de commentaires. Au classement, l’ACA n’est toujours pas distancé. Dix-neuvièmes à la différence de buts au bénéfice de Troyes (21 points chacun), les Ajacciens comptent deux longueurs de retard sur Auxerre (23 points), trois sur Brest (24) et cinq sur Strasbourg (26). un total auquel il convient d’ajouter, à l’exception de l’AJA (-28), une unité en raison d’un différence de buts trop importante (-30 contre respectivement -23, -16 et -12 pour Troyes, Brest et Strasbourg).
Un mois d’avril décisif
On peut dire que si mathématiquement, le maintien est encore jouable pour l’ACA, la situation et surtout son incapacité chronique à se créer des occasions de buts (deux ou trois franches sur les trois dernières rencontres) et à marquer (neuf réalisations à domicile depuis le début de la saison et six seulement dont deux sur pénalty depuis la reprise), pose de nombreuses interrogations. Pour autant, l’issue n’est pas encore fatale pour des Ajacciens qui devraient profiter de la mini-trêve internationale pour récupérer quelques unes de leurs forces vives, notamment Vincent Marchetti, Yohan Touzghar ou encore Thomas Mangani. Quoiqu’il en soit, les échéances d’avril (déplacement à Clermont le 2 et Strasbourg le 16) mais surtout les réceptions d’Auxerre (le 9) et Brest (le 23) seront décisives. « Ces matchs et surtout ceux face aux concurrents directs devront nous permettre d’engranger un maximum de points, souligne Olivier Pantaloni, en revanche, si nous manquons ces rendez-vous, ce sera quasiment plié. »
Le 23, soit, une semaine avant le début d’un véritable périple, on devrait être fixés sur le sort des Ajacciens.
La situation se complique pour les Ajacciens, toujours scotchés dans le bas du tableau après leur défaite de dimanche dernier face à Monaco. À dix journées de la fin, dont cinq à François Coty, les Ajacciens peuvent-ils encore croire en leur bonne étoile ?
Le football ne se conjugue, certes pas, en statistiques. Pour autant, si l’on évoque le parcours de l’ACA ne serait-ce que depuis la reprise, il y a de quoi avoir peur ! Trois victoires, dont deux à domicile, et dix défaites (cinq à Coty), neuf points sur trente-six possibles engrangés, six buts marqués, vingt-six encaissés, un bilan qui se passe de commentaires. Au classement, l’ACA n’est toujours pas distancé. Dix-neuvièmes à la différence de buts au bénéfice de Troyes (21 points chacun), les Ajacciens comptent deux longueurs de retard sur Auxerre (23 points), trois sur Brest (24) et cinq sur Strasbourg (26). un total auquel il convient d’ajouter, à l’exception de l’AJA (-28), une unité en raison d’un différence de buts trop importante (-30 contre respectivement -23, -16 et -12 pour Troyes, Brest et Strasbourg).
Un mois d’avril décisif
On peut dire que si mathématiquement, le maintien est encore jouable pour l’ACA, la situation et surtout son incapacité chronique à se créer des occasions de buts (deux ou trois franches sur les trois dernières rencontres) et à marquer (neuf réalisations à domicile depuis le début de la saison et six seulement dont deux sur pénalty depuis la reprise), pose de nombreuses interrogations. Pour autant, l’issue n’est pas encore fatale pour des Ajacciens qui devraient profiter de la mini-trêve internationale pour récupérer quelques unes de leurs forces vives, notamment Vincent Marchetti, Yohan Touzghar ou encore Thomas Mangani. Quoiqu’il en soit, les échéances d’avril (déplacement à Clermont le 2 et Strasbourg le 16) mais surtout les réceptions d’Auxerre (le 9) et Brest (le 23) seront décisives. « Ces matchs et surtout ceux face aux concurrents directs devront nous permettre d’engranger un maximum de points, souligne Olivier Pantaloni, en revanche, si nous manquons ces rendez-vous, ce sera quasiment plié. »
Le 23, soit, une semaine avant le début d’un véritable périple, on devrait être fixés sur le sort des Ajacciens.
