• Le doyen de la presse Européenne

Couper la tête de l'hydre islamiste

L'assassinat et la décapitation de samuel Paty
Couper la tête de l’hydre islamiste
L’assassinat et la décapitation de Samuel Paty, professeur de son état, attaché à la liberté d’expression, a enfin décidé les forces étatiques à réagir contre ce mal qui ronge les sociétés du monde entier, ce nouveau nazisme à face religieuse, l’islamisme.

Il était temps.
Le monstre auquel s’attaquent la justice et le gouvernement est identifié depuis une génération. Les islamistes ont tué en un peu plus de vingt ans plusieurs centaines de personnes de toutes confessions, de tous âges sans jamais déclencher un plan d’ensemble. L’origine de cette nonchalance criminelle a été une mauvaise conscience dramatique qui voulait que s’attaquer à des musulmans, fussent-ils une minorité parmi leurs coreligionnaires, relevât du racisme.


Refuser d'excuser le crime au nom de l’origine des assassins

Dieu sait si j’exècre le racisme le vrai celui qui veut qu’on discrimine quelqu’un au nom de critères dont il n’est pas responsable : la couleur de peau, le pays d’origine, les présupposés fantasmatiques, le sexe, les orientations sexuelles. Car j’estime qu’il n’existe qu’une seule et même race : l’espèce humaine. Et c’est pour cette raison que je suis partisan d’une répression sans pitié contre les nazislamistes.
La France est faible parce que victime de deux influences dramatiques : la première est la mauvaise conscience post-coloniale qui voudrait que nous ayons torturé durant un siècle des populations asiatiques ou africaines et que nous devions désormais payer pour ce péché originel. Ainsi le mouvement des « racialistes » qui à rebours d’un véritable antiracisme, entretient le complexe du colonisé en rappelant sans cesse à nos frères et à nos sœurs, issus des autres continents qu’ils ne sont jamais en définitive que des victimes et qu’ils resteront victimes.

C’est un peu le médecin qui craint soudain de voir disparaître la maladie dont il est prétendument le spécialiste. L’autre influence a été cette américanisation qui déferle sur le vieux continent depuis la fin de la guerre et qui imprègne la musique, la littérature, le cinéma, la nourriture et même la façon de parler.
Aux États-Unis, mais aussi en Grande-Bretagne, toute forme de religion, jusqu’aux plus sectaires, est sacrée. Interdit d’interdire.
Le KKK, mouvement raciste et assassin, se revendique du protestantisme, mais il a pu lyncher en toute quiétude durant des décennies.
La secte Moon a pignon sur rue comme toute la nébuleuse évangéliste.
Les islamistes ont imposé dans certains secteurs de Londres la charia qui prévaut sur les lois britanniques. Il n’y a pas de séparation entre le profane et le sacré, le public et le privé.

Eh bien chez nous c’est le contraire.
La laïcité, obtenue après des siècles de confrontation avec l’Église, trace une frontière bien définie entre ces différents domaines. C’est d’une certaine manière notre trésor national. En conséquence la charia, la loi musulmane, ne saurait ni s’imposer ni même exister sur le sol français. En France, on respecte les lois de la république un point c’est tout. La couleur de la peau et la religion ne sauraient interférer avec le droit. Un criminel est un criminel même s’il a la peau foncée ou s’il est musulman. Et que le musulman qui trouve notre laïcité insupportable, qui veut imposer sa loi ici, prenne ses valises pour un pays où la charia est en vigueur. Ils sont nombreux.

L’extension invraisemblable du nazislamisme
Le capitalisme a besoin de crises cycliques pour exister. Et chaque crise produit notamment chez les plus déshérités, ses fanatismes. Il y eut le nazisme et son corollaire de gauche, le communisme.
Aujourd’hui que ces vieilles idéologies ont disparu (ou presque) les religions ont pris le pas. L’évangélisme (qui s’appuie sur des économies riches et justifie les guerres américaines) et l’islamisme (qui mobilisent des masses sans argent et donc susceptibles de pratiquer le terrorisme, ce bellicisme du pauvre), prennent en tenaille les sociétés planétaires. L’un et l’autre sont dangereux. Mais nous sommes confrontés à l’islamisme qui nous hurle sa haine, qui sous couvert d’un certain antisionisme propage un antisémitisme aussi atroce que celui professé par les nazis. Et comme hier, il fallait frapper fort et sans pitié le nazisme, aujourd’hui il faut trancher la tête de l’hydre. Et si en chemin il faut mettre au rancart quelques libertés, n’hésitons pas.
Laisser faire aujourd’hui ces fanatiques c’est être assuré que demain émergeront des sociétés traumatisées de nouveaux fascismes, mais occidentaux ceux-là.



GXC
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