I puttachji di Carl' Antò
i Puttachji de la semaine
PUTTAGHJI
Peut-être déjà un 46 et demi
Dans la nuit du 27 au 28 mars, à Calvi, quatre voitures et deux utilitaires ont été détruits par les flammes. Dans la nuit du 22 au 23 mars, quatre voitures à Calvi et trois à l’Isula ont subi le même sort. Ces incendie sont probablement criminels. Le littoral balanin n’est certes pas encore le 93 mais il est peut-être déjà un 46 et demi.
Cauchemar !
Conduite à risque (slalom entre des piétons ou des voitures, brutal changement de file de véhicules, emprunt à contre-sens de voies de circulation…) ; engins abandonnés n’importe où, après utilisation ; ainsi que quelques autres infractions ou incivilités : tout cela rend plutôt impopulaires les trottinettes électriques en libre-service et leur utilisateurs. D’ailleurs, dans plusieurs centre-villes, y compris celui de la très écologiste Paris, ces trottinettes ont été déclarées indésirables. En revanche, à Bastia, ces derniers jours, leur nombre a été multiplié par deux pour satisfaire les clientèles estivales. De ce fait, davantage de kamikazes ! Cauchemar pour les automobilistes déjà confrontés à des condition difficiles de circulation. Cauchemar pour les piétons, particulièrement dans les rues piétonnes du centre ancien, sur la place Saint-Nicolas et tout au long du Spassimare.
Au train où vont les chose
Encore plus de 100 M€ empruntés par la Collectivité de Corse pour boucler son budget. Au train où vont les choses, si un jour autonomie il y a, cela ne sera pas l’autonomie de plein droit et de plein exercice mais l’autonomie Cetelem.
Une sainte colère !
Sur sa page Facebook, José Gandolfi, figure du quartier bastiais Saint-Joseph et de l’archiconfrérie éponyme, n’a pas mâché ses mots. Évoquant la couverture par Corse Matin des célébrations de la Saint-Joseph, il a notamment écrit : « Vous avez choisi de résumer tout cela à… une fête où l'on vient pour boire et manger. Pas une seule belle photo des 39 confréries présentes. Pas une image des San Ghjisippani portant fièrement leur Saint. Pas un mot sur les cinq messes bondées ni sur les neuvaines qui remplissent notre église chaque soir […] Autrefois, on achetait Corse Matin pour se voir, pour retrouver les siens, pour célébrer notre culture. Aujourd’hui, ceux qui persistent à l’acheter le font pour lire les avis de décès et constater comment vous piétinez nos traditions pluriséculaires.» Une sainte colère ! En bon chrétien, José Gandolfi a toutefois conclu par un miséricordieux : « Allez, sans rancune. »
Peut-être déjà un 46 et demi
Dans la nuit du 27 au 28 mars, à Calvi, quatre voitures et deux utilitaires ont été détruits par les flammes. Dans la nuit du 22 au 23 mars, quatre voitures à Calvi et trois à l’Isula ont subi le même sort. Ces incendie sont probablement criminels. Le littoral balanin n’est certes pas encore le 93 mais il est peut-être déjà un 46 et demi.
Cauchemar !
Conduite à risque (slalom entre des piétons ou des voitures, brutal changement de file de véhicules, emprunt à contre-sens de voies de circulation…) ; engins abandonnés n’importe où, après utilisation ; ainsi que quelques autres infractions ou incivilités : tout cela rend plutôt impopulaires les trottinettes électriques en libre-service et leur utilisateurs. D’ailleurs, dans plusieurs centre-villes, y compris celui de la très écologiste Paris, ces trottinettes ont été déclarées indésirables. En revanche, à Bastia, ces derniers jours, leur nombre a été multiplié par deux pour satisfaire les clientèles estivales. De ce fait, davantage de kamikazes ! Cauchemar pour les automobilistes déjà confrontés à des condition difficiles de circulation. Cauchemar pour les piétons, particulièrement dans les rues piétonnes du centre ancien, sur la place Saint-Nicolas et tout au long du Spassimare.
Au train où vont les chose
Encore plus de 100 M€ empruntés par la Collectivité de Corse pour boucler son budget. Au train où vont les choses, si un jour autonomie il y a, cela ne sera pas l’autonomie de plein droit et de plein exercice mais l’autonomie Cetelem.
Une sainte colère !
Sur sa page Facebook, José Gandolfi, figure du quartier bastiais Saint-Joseph et de l’archiconfrérie éponyme, n’a pas mâché ses mots. Évoquant la couverture par Corse Matin des célébrations de la Saint-Joseph, il a notamment écrit : « Vous avez choisi de résumer tout cela à… une fête où l'on vient pour boire et manger. Pas une seule belle photo des 39 confréries présentes. Pas une image des San Ghjisippani portant fièrement leur Saint. Pas un mot sur les cinq messes bondées ni sur les neuvaines qui remplissent notre église chaque soir […] Autrefois, on achetait Corse Matin pour se voir, pour retrouver les siens, pour célébrer notre culture. Aujourd’hui, ceux qui persistent à l’acheter le font pour lire les avis de décès et constater comment vous piétinez nos traditions pluriséculaires.» Une sainte colère ! En bon chrétien, José Gandolfi a toutefois conclu par un miséricordieux : « Allez, sans rancune. »