I puttachji di Carl' Antò
i Puttachji de la semaine
Puttaghji
C’était qui, c’était qui, c’était qui ?
C’était Qui, c’était Qui, c’était Qui, qui a récemment utilisé ces mots - « armée de cagoules » - pour évoquer le FLNC d’antan ? Indices : ni un magistrat, ni un policier, ni un nostalgique de la CFR, ni même la Goffa Lolita, même si c’était particulièrement goffu. C’était Léo…
Il est prévenu
Après avoir obtenu les têtes de Fred Antonetti et Benoît Tavenot, des « supporters » du Sporting Club de Bastia ont dénigré sur les réseaux sociaux, avant même son arrivée, le nouveau coach des Turchini. Il est prévenu : le tribunal populaire siège déjà, les procureurs ont la forme, la guillotine est prête à l’emploi.
Une fois n’est pas coutume
Francois Filoni et Alexandre-Guillaume Tollinchi qui conduiront, avec un représentant de Mossa Palatina, la liste Unione di i Patriotti (droite identitaire) à Aiacciu à l’occasion des élections municipales, ont proposé d'installer des familles roms sur le site de l’ancien bagne pour enfants de Saint-Antoine. Le représentant des familles concernées a exprimé leur satisfaction. Une fois n’est pas coutume, la perspective d’aller au bagne, fait des heureux.
Hacker 007 !
Sur sa page Facebook, Frédéric Poletti a avoué être « un James Bond de l’informatique ». En effet, après avoir pris connaissance du mémoire produit par « les conseils de la Mairie de Bastia » en réponse à sa demande d’annulation de la délibération approuvant le PLU bastiais, l’infatigable analyste er pourfendeur de la gestion de Pierre Savelli a craché le morceau et révélé la réussite de sa mission top secret. Ses aveux : « Je suis un hacker […] J’ai osé analyser les métadonnées de deux fichiers PDF : l’avis « favorable » et l’avis « défavorable » du président de la CAB, tous deux datés du même jour. Conclusion qu'en tire la mairie : j'ai bénéficié d’un accès au système informatique de la CAB. Les métadonnées, ce ne sont pas des codes secrets cachés dans un serveur protégé par laser. Ce sont juste les informations intégrées automatiquement dans le fichier : heure de numérisation, modèle du scanner, paramètres du PDF… bref, la carte d’identité du document. On y accède avec un geste hautement technique : clic droit sur le document PDF puis Propriétés du document ». La révélation de sa réussite : « On préfère m’imaginer en pirate informatique plutôt que de justifier la coexistence de deux avis contradictoires, rédigés et signés le même jour par la même institution. »
C’était qui, c’était qui, c’était qui ?
C’était Qui, c’était Qui, c’était Qui, qui a récemment utilisé ces mots - « armée de cagoules » - pour évoquer le FLNC d’antan ? Indices : ni un magistrat, ni un policier, ni un nostalgique de la CFR, ni même la Goffa Lolita, même si c’était particulièrement goffu. C’était Léo…
Il est prévenu
Après avoir obtenu les têtes de Fred Antonetti et Benoît Tavenot, des « supporters » du Sporting Club de Bastia ont dénigré sur les réseaux sociaux, avant même son arrivée, le nouveau coach des Turchini. Il est prévenu : le tribunal populaire siège déjà, les procureurs ont la forme, la guillotine est prête à l’emploi.
Une fois n’est pas coutume
Francois Filoni et Alexandre-Guillaume Tollinchi qui conduiront, avec un représentant de Mossa Palatina, la liste Unione di i Patriotti (droite identitaire) à Aiacciu à l’occasion des élections municipales, ont proposé d'installer des familles roms sur le site de l’ancien bagne pour enfants de Saint-Antoine. Le représentant des familles concernées a exprimé leur satisfaction. Une fois n’est pas coutume, la perspective d’aller au bagne, fait des heureux.
Hacker 007 !
Sur sa page Facebook, Frédéric Poletti a avoué être « un James Bond de l’informatique ». En effet, après avoir pris connaissance du mémoire produit par « les conseils de la Mairie de Bastia » en réponse à sa demande d’annulation de la délibération approuvant le PLU bastiais, l’infatigable analyste er pourfendeur de la gestion de Pierre Savelli a craché le morceau et révélé la réussite de sa mission top secret. Ses aveux : « Je suis un hacker […] J’ai osé analyser les métadonnées de deux fichiers PDF : l’avis « favorable » et l’avis « défavorable » du président de la CAB, tous deux datés du même jour. Conclusion qu'en tire la mairie : j'ai bénéficié d’un accès au système informatique de la CAB. Les métadonnées, ce ne sont pas des codes secrets cachés dans un serveur protégé par laser. Ce sont juste les informations intégrées automatiquement dans le fichier : heure de numérisation, modèle du scanner, paramètres du PDF… bref, la carte d’identité du document. On y accède avec un geste hautement technique : clic droit sur le document PDF puis Propriétés du document ». La révélation de sa réussite : « On préfère m’imaginer en pirate informatique plutôt que de justifier la coexistence de deux avis contradictoires, rédigés et signés le même jour par la même institution. »