I puttachji di Carl' Antò

J’ai fait un rêve

J’ai rêvé qu’à la suite du 2^ème tour des élections législatives, le parti d’Emmanuel Macron n’avait pas la majorité absolue. Mais celle-ci ne tenait qu’à trois sièges. Et là ! Le soleil s’est levé ! La journée était ensoleillée et Emmanuel m’avait enfin laissé un message sur mon portable !
« Cher Gilles, rappelle-moi, nous pouvons enfin discuter de l’autonomie et même si tu veux récupérer les indépendantistes, l’indépendance n’est plus un tabou. À toi de choisir entre inter-dépendance dans le cadre républicain français ou indépendance, nous pouvons discuter de vraiment tout ! Il me faut à tout prix tes trois députés ! Rappelle-moi très vite ! »
Mais le réveil a été brutal, mes deux supers conseillers politique, un à Ajaccio et un à Bastia, m’ont ramené à la dure réalité politique. À suivre…

Ambition

Le Quotidien Unique a titré l’autre jour les ambitions santé de Romain Colonna.
Il aurait pu peut-être titrer les ambitions tout court de Romain Colonna mais c’est vrai qu’à Femu, on n’est jamais trop ambitieux voir les différentes composantes de ce parti.
Mais en ce qui concerne la santé et la conférence de presse de Romain Colonna dans l’organe de propagande de Femu, une certaine divergence est apparue.
Absente, Bianca Fazi dont tout le monde se rappelle son action pendant la crise Covid et présente la suppléante de Romain Colonna et de Danielle Antonini.
À croire qu’à Femu, on privilégie la médecine libérale et non la médecine hospitalière.
Pour une région pardon un territoire, la Corse qui frôle les 30% de la population sous le seuil de pauvreté, on pourrait se poser la question de la voie, pardon, l’ « Andaturia » de Femu, très proche de la bourgeoisie locale.


Même pas ça ?

Lors de la dernière cession de l’Assemblée de Corse, les participants et les observateurs ont pu sentir la chaleur qui régnait dans l’hémicycle.
Les services ont tout d’abord été accusés puis le service d maintenance.
En fait, il n’en était rien, il s’agissait tout simplement d’un marché public de renouvellement qui n’a pas été passé. Encore une fois, paraît-il, la fautes aux services.
On comprend maintenant les deux condamnations de la Collectivité dans l’affaire de la D.S.P. pour la Corsica Ferries.
Quand on n’est pas capable de passer un marché de climatisation pour ses propres bureaux, on peut se demander combien les condamnations vont être prononcées contre cette « pauvre » Collectivité de Corse dans quelques années…

Dure circonscription

Dans la deuxième circonscription de la Haute-Corse, la bataille électorale bat son plein pour les législatives.
Mais au lieu de se battre sur des idées et sur l’avenir de notre pays, il semble que certains ont trouvé ou retrouvé les méthodes clanistes.
Retrouver les méthodes clanistes pour les nationalistes dont cette circonscription, quel que soit le vainqueur, marquera le tournant de la division. Nous risquons même d’assister à un deuxième tour où certains diront "tous sauf Femu". En effet, l’ex-président de l’Office des Transports et élu sortant semble réunir l’ex clan giacobbiste et les modérés des nationalistes derrière lui. Il ne reste plus que quelques jours à attendre pour le verdict des urnes.
J’ai rêvé qu’à la suite du 2ème tour des élections législatives, le parti d’Emmanuel Macron n’avait pas la majorité absolue. Mais celle-ci ne tenait qu’à trois sièges. Et là ! Le soleil s’est levé ! La journée était ensoleillée et Emmanuel m’avait enfin laissé un message sur mon portable
« Cher Gilles, rappelle-moi, nous pouvons enfin discuter de l’autonomie et même si tu veux récupérer les indépendantistes, l’indépendance n’est plus un tabou. À toi de choisir entre inter-dépendance dans le cadre républicain français ou indépendance, nous pouvons discuter de vraiment tout ! Il me faut à tout prix tes trois députés ! Rappelle-moi très vite ! Mais le réveil a été brutal, mes deux supers conseillers politique, un à Ajaccio et un à Bastia, m’ont ramené à la dure réalité politique. À suivre…Ambition