Handball : Club Olympique Corse
Un tremplin vers le haut
Club Olympique Corse : un tremplin vers le haut niveau
Depuis près de vingt ans, le COC (Club Olympique Corse) réunit les meilleurs jeunes handballeurs insulaires. Depuis quelques années, la structure permet la participation aux championnats de France des « moins de 18 ans ». Objectif, à travers notamment le pôle espoir, la formation mais aussi l’excellence…
Ils sont vingt-sept jeunes athlètes, cette saison, à travailler, loin des feux de la rampe, au sein d’un Pôle Espoir handball basé au CSJC. Âgés de 14 à 17 ans, ils sont issus des cinq clubs de l’île et s’entraînent quatre fois par semaine du lundi au jeudi. Aux commandes, Pierre-Marie Brunetti, ancien joueur du GFCA mais qui a, cette fois, la « baretta » d’entraîneur principal et responsable technique. La particularité du COC réside dans le fait que chacun des jeunes éléments (une dizaine d’entre eux sont internes au CSJC), possèdent la licence de leur club respectif mais évoluent ensemble à l’image d’une équipe régionale. Les plus âgés (14 au total) participent aux championnats de France zone PACA-Corse, les autres au niveau régional.
Un outil de ligue
« La structure est née en 1999, explique Renaud Baldacci, président de la Ligue Corse de Handball, mais elle a évolué au fil des ans. La plupart de ces jeunes évoluaient en régional. L’idée générale a donc consisté à faire du COC, un outil de Ligue permettant à ces joueurs d’évoluer au niveau national en championnat de France des moins de 18 ans et ainsi de progresser. La structure est aujourd’hui labellisée ce qui veut dire qu’elle intègre le « haut niveau » inhérent aux structures professionnelles avec l’encadrement requis (suivi médical, physique, pédagogique, kiné, nutritionniste...). »
Ainsi, les jeunes, dont certains sont déjà en équipe PACA-Corse (interlingues), jouent régulièrement en national (GFCA N3 pour quelques-uns) ou régional. « Cette perspective, rappelle le président de la ligue, a permis à quelques-uns de ces jeunes de jouer en National 1 avec le GFCA. Le suivi est important et rigoureux. »
Avec à ce jour, 5 victoires et 4 défaites en 9 matchs, le COC semble bien sur les bons rails en championnat. Mais au delà de cette compétition, l’objectif consiste à former le plus de jeunes possibles afin qu’ils évoluent au plus haut niveau insulaire (N1) mais encore plus haut pour certains d’entre eux. Les exemples de Thomas Tricaud ou Marc’Antò Aillaud montrent que le travail porte déjà ses fruits…
Ph.P.
Depuis près de vingt ans, le COC (Club Olympique Corse) réunit les meilleurs jeunes handballeurs insulaires. Depuis quelques années, la structure permet la participation aux championnats de France des « moins de 18 ans ». Objectif, à travers notamment le pôle espoir, la formation mais aussi l’excellence…
Ils sont vingt-sept jeunes athlètes, cette saison, à travailler, loin des feux de la rampe, au sein d’un Pôle Espoir handball basé au CSJC. Âgés de 14 à 17 ans, ils sont issus des cinq clubs de l’île et s’entraînent quatre fois par semaine du lundi au jeudi. Aux commandes, Pierre-Marie Brunetti, ancien joueur du GFCA mais qui a, cette fois, la « baretta » d’entraîneur principal et responsable technique. La particularité du COC réside dans le fait que chacun des jeunes éléments (une dizaine d’entre eux sont internes au CSJC), possèdent la licence de leur club respectif mais évoluent ensemble à l’image d’une équipe régionale. Les plus âgés (14 au total) participent aux championnats de France zone PACA-Corse, les autres au niveau régional.
Un outil de ligue
« La structure est née en 1999, explique Renaud Baldacci, président de la Ligue Corse de Handball, mais elle a évolué au fil des ans. La plupart de ces jeunes évoluaient en régional. L’idée générale a donc consisté à faire du COC, un outil de Ligue permettant à ces joueurs d’évoluer au niveau national en championnat de France des moins de 18 ans et ainsi de progresser. La structure est aujourd’hui labellisée ce qui veut dire qu’elle intègre le « haut niveau » inhérent aux structures professionnelles avec l’encadrement requis (suivi médical, physique, pédagogique, kiné, nutritionniste...). »
Ainsi, les jeunes, dont certains sont déjà en équipe PACA-Corse (interlingues), jouent régulièrement en national (GFCA N3 pour quelques-uns) ou régional. « Cette perspective, rappelle le président de la ligue, a permis à quelques-uns de ces jeunes de jouer en National 1 avec le GFCA. Le suivi est important et rigoureux. »
Avec à ce jour, 5 victoires et 4 défaites en 9 matchs, le COC semble bien sur les bons rails en championnat. Mais au delà de cette compétition, l’objectif consiste à former le plus de jeunes possibles afin qu’ils évoluent au plus haut niveau insulaire (N1) mais encore plus haut pour certains d’entre eux. Les exemples de Thomas Tricaud ou Marc’Antò Aillaud montrent que le travail porte déjà ses fruits…
Ph.P.