• Le doyen de la presse Européenne

Toc de Mac, McKinsey remonte à la surface.

A l’épuisette, le juge Serge Tournaire. La terreur des gros poissons qui volent à marée basse. Macron, qui d’habitude ne résiste pas à répondre par la provocation et les coups de menton, multiplie les diversions avec une frénésie suspecte.

Toc de Mac


McKinsey remonte à la surface. A l’épuisette, le juge Serge Tournaire. La terreur des gros poissons qui volent à marée basse. Macron, qui d’habitude ne résiste pas à répondre par la provocation et les coups de menton, multiplie les diversions avec une frénésie suspecte.


Tournaire-Macron, une finale de rêve.

Et si cette fois c’était la bonne. Si le Nouveau Monde et son cortège de ripoux cyniques et prétentieux, goutait à la fin de l’impunité. Macron perd les pédales du vélo de maman. Avec le juge Tournaire sur le garde-boue, l’étape s’annonce pénible. Incorruptible, infatigable travailleur de l’ombre, le juge a de quoi faire rompre le roseau de Picardie. Qui s’agite dans les tweets et la diversion. Tweet de félicitations au Qatar, pour son organisation et sa politique de réformes (????). Diversion, avec un projet pharaonique, équiper 10 métropoles du RER, un projet à 30 ans dont il ne sera jamais comptable.

Quand la Chine se réveille.

En écho à la révolte iranienne, la jeunesse chinoise, sous cloche dans le panier à vapeur depuis trois ans, descend dans la rue pour respirer le vent de la liberté. Aie aie aie. Une répression terrible confine le courage de ces gamins à travers les différents camps d’internement et de travaux forcés que comptent le territoire. Si un pays ne sera jamais condamné pour son manque de places de prison, c’est bien la Chine. Comme pour l’Iran, la communauté internationale laisse tous ces gosses rejoindre dans le silence les oubliettes de l’Histoire. Plus facile de dénoncer un pangolin qu’un dictateur.

L’ami Ri-Corée du Nord.

Kim Jong-Un, le petit gros taillé comme un rouleau de printemps, s’est pris de passion pour la pêche intensive dans les eaux territoriales japonaises. Quand il part au thon, il y met le paquet de soja. Ce jobard lance un missile longue portée par semaine. Des centaines de millions de dollars jetés à la baille, pendant que son peuple se mange les baguettes par les deux bouts. La tête farcie de riz gluant, il amène maintenant sa fille, une pousse de bambou de 10 ans, sur le pas de tir. Il lui montre les boutons, lui désigne la trajectoire du vol. Bref il forme l’héritière à balancer des bananes flambées sur le voisin d’en bas et les bars à sushis d’en face. Problème. Gros problème, la gamine louche. Et pas un peu. Quand elle regarde Seoul, elle a un œil sur sa frange et l’autre sur ses chaussures. Avec la chance insolente qui caractérise l’Ukraine, quand Clarence-Bo Bun visera Tokyo, ça tombera encore sur le Donbass.

Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, elle cause plus, elle chante.

Maintenant Larusso quitte l’hémicycle en chantant. Un hymne féministe qui à travers sa voix ne sert pas vraiment la cause. Si le toubib de l’Assemblée ne la pique pas, cette dingue va renvoyer les femmes entre le four à chaleur tournante et le placard à balais.

Adrienne!
En général, il vaut mieux ne pas se tromper sur le choix de sa femme. En particulier si l’on fait de la boxe. Il est plus prudent de monter sur un ring la tête fraiche. Quand Tyson épouse Robin Givens, il se chope la loose, la coke et le KO avant le cachot. Elle claque sa caillasse, le fait marron avec le tout Hollywood, même avec son promoteur, l’enfoiré de Donald Trump. Mike ne peut pas s’en sortir. Il n’y aurait jamais eu de Rocky sans Adrienne. Il n’aurait jamais survécu à Apollo Creed sans Adrienne. Adrien Quatennens, l’Ivan Drago de Béthune, a choisi Céline. Faute. D’abord elle encaisse mal. Un crochet du droit et elle jette l’éponge. Ensuite elle calcule mal. Elle lui réclame un bras en pension alimentaire et publie simultanément un communiqué où elle liste les tortures infligées par Tête Rouge. Mettant possiblement fin à sa carrière chez les mi-lourds. Et comment il va la payer ta pension si tu le mets à la rue? Chez Céline, des gifles arrivent d’autres se perdent.

Manquait plus que les pingouins
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On avait la punaise d’Asie, la fourmi d’Argentine, le frelon asiatique, le crabe bleu, le Darmanin du 17, et voilà qu’une patrouille de pingouins se prend un anneau à l’Amirauté. C’est bientôt la saison des bianchetti. Si ces cons trempent le bec dans la suppa, non seulement ils ne partent plus, mais c’est l’affaccata de tous les manchots et les bras cassés du Pôle Nord. A la PAF, on se gratte la tête. Au RN, Filoni mène l’enquête. Il remonte la filière, comme un saumon la rivière. Gilles Siméoni se demande s’il doit leur faire une place dans la délégation. Dominique Bucchini, à nouveau consulté, lui fait remarquer qu’ils sont déjà largement représentés. A suivre...

.Sgaiuffu
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