Paul Canarelli et la SAS Murtoli : leurs plaintes en diffamation contre U Levante font plouf !
Le patron de Murtoli est condamné pour procédure abusive.
Paul Canarelli et la SAS Murtoli : leurs plaintes en diffamation contre U Levante font plouf ! Le patron de Murtoli est condamné pour procédure abusive.
Image Google Earth 2020 : l’ensemble illégal du club house et de l’hôtel ***** “La ferme”, de la piscine et du golf
23 mai 2023 – La décision de justice vient de tomber : le patron de Murtoli avait déposé trois plaintes en diffamation, en 2018 et 2019, contre la direction collégiale de U Levante. Non seulement la justice n’en retient aucune mais, de surcroît, fait rare qui doit être souligné, P. Canarelli est condamné pour procédure abusive
Tous les écrits de U Levante dénonçaient les illégalités de la majorité des constructions édifiées sur le domaine de Murtoli. Ces illégalités ont été confirmées par la dépêche de l’AFP du 7 avril 2023 : P. Canarelli “est soupçonné d’avoir effectué des travaux sans permis de construire ou autorisation préalable et en infraction avec le plan local d’urbanisme, d’avoir exécuté des travaux ayant modifié sans autorisation un monument naturel ou un site classé et d’avoir aménagé un golf sans permis préalable … Ce qu’a confirmé à l’AFP le parquet d’Ajaccio.” “Son ex-compagne et exploitante agricole du domaine, Valérie Guilbert, ainsi que l’architecte du domaine, Stéphane Lucchini, ont également été mis en examen pour les mêmes chefs d’inculpation.“
De surcroît, le quotidien “Le Parisien” a écrit, le 14 mai 2023, sans être démenti, que P. Canarelli, V. Guilbert et Stéphane Lucchini sont également accusés d’escroquerie.
les 5 plaintes de P. Canarelli et de la SAS Murtoli contre la direction collégiale de U Levante :
– première plainte en 2018 n° 18 135 607 : ordonnance de non-lieu 4 mars 2020 (confirmé en appel)
– deuxième plainte en 2018 SAS Murtoli n° 18 326 716 renvoyée à l’audience du 16 mars 2023,
– troisième plainte en 2019 SAS Murtoli n°19 015 513 renvoyée à l’audience du 16 mars 2023
– quatrième plainte en 2019 SAS Murtoli n° 19 231 253 contre M. Novella, membre de la direction collégiale, renvoyée à l’audience du 16 mars 2023
– cinquième plainte en 2019 SAS Murtoli n° 19 247 468 en cours d’instruction.
Tous les écrits incriminés affirment que le complexe hôtelier a été édifié de façon illégale.
A – N° de parquet 18 326 716, le texte paru sur le site internet de U Levante :
B – N° de parquet 19 231 253 : le texte paru sur le compte Facebook
« on essaie de faire pression sur des militants qui défendent la terre Corse et son patrimoine environnemental et qui ose dénoncer des pratiques illégales répétitives d’envergure qui font école car elles ne sont pas sanctionnées ».
C – N° de parquet 19 015 513 : le texte paru sur le site internet de U Levante
« Effarant de voir les repreneurs du domaine de Sperone (construit en partie illégalement) présenter leur projet à Murtoli (lui aussi construit illégalement) et assurer qu’il respecte le PADDUC et la loi littoral ».… « Bien vu et si vrai ! ».
Le texte concerne encore le fait que le complexe hôtelier de Murtoli a été édifié de façon illégale.
N° de parquet 19 247 468 – Cette affaire reste en cours d’instruction, voici le texte paru :
« Murtoli : énième construction sans permis
Le texte concerne également le fait que le complexe hôtelier a été édifié de façon illégale.
« sur recours de l’État, le tribunal administratif a annulé le PC délivré en régularisation d’une construction déjà érigée … en zone inconstructible. »
« Quelques jours plus tard ( !) le 23 janvier 2018, la SCI A bandera dont le gérant est monsieur Paul Canarelli, sollicite auprès du maire de Sartène la délivrance d’un permis de construire portant sur l’extension d’un bâtiment existant qui constitue le bâtiment d’accueil d’un complexe hôtelier dit « domaine de Murtoli » d’une surface de plancher nouvelle de 127 m², aux fins de régulariser la construction déjà réalisée de cette extension. »
« le tribunal administratif a annulé le permis donné par le maire à la SCI A Bandera pour les égalités suivantes ».
« voici une énième construction sans permis à Murtoli ».
P. Canarelli est coutumier des plaintes en diffamation donnant lieu à un jugement de relaxe*.
*Plainte P. Canarelli contre des journalistes du 31 mars 2017 et jugement de relaxe du 14 mai 2021 n° parquet 17095/428 et plainte P. Canarelli et SAS Murtoli du 21 juillet 2017 et jugement de relaxe du 11 mars 2022 n° 17219/347.
Toutes ces plaintes sont manifestement de procédures « bâillon » qui détournent de leur objectif la loi du 29 juillet 1881. Les procédures contre U Levante ont été jugées “abusives” et ont donné lieu à une amende.
Image Google Earth 2020 : l’ensemble illégal du club house et de l’hôtel ***** “La ferme”, de la piscine et du golf
23 mai 2023 – La décision de justice vient de tomber : le patron de Murtoli avait déposé trois plaintes en diffamation, en 2018 et 2019, contre la direction collégiale de U Levante. Non seulement la justice n’en retient aucune mais, de surcroît, fait rare qui doit être souligné, P. Canarelli est condamné pour procédure abusive
Tous les écrits de U Levante dénonçaient les illégalités de la majorité des constructions édifiées sur le domaine de Murtoli. Ces illégalités ont été confirmées par la dépêche de l’AFP du 7 avril 2023 : P. Canarelli “est soupçonné d’avoir effectué des travaux sans permis de construire ou autorisation préalable et en infraction avec le plan local d’urbanisme, d’avoir exécuté des travaux ayant modifié sans autorisation un monument naturel ou un site classé et d’avoir aménagé un golf sans permis préalable … Ce qu’a confirmé à l’AFP le parquet d’Ajaccio.” “Son ex-compagne et exploitante agricole du domaine, Valérie Guilbert, ainsi que l’architecte du domaine, Stéphane Lucchini, ont également été mis en examen pour les mêmes chefs d’inculpation.“
De surcroît, le quotidien “Le Parisien” a écrit, le 14 mai 2023, sans être démenti, que P. Canarelli, V. Guilbert et Stéphane Lucchini sont également accusés d’escroquerie.
les 5 plaintes de P. Canarelli et de la SAS Murtoli contre la direction collégiale de U Levante :
– première plainte en 2018 n° 18 135 607 : ordonnance de non-lieu 4 mars 2020 (confirmé en appel)
– deuxième plainte en 2018 SAS Murtoli n° 18 326 716 renvoyée à l’audience du 16 mars 2023,
– troisième plainte en 2019 SAS Murtoli n°19 015 513 renvoyée à l’audience du 16 mars 2023
– quatrième plainte en 2019 SAS Murtoli n° 19 231 253 contre M. Novella, membre de la direction collégiale, renvoyée à l’audience du 16 mars 2023
– cinquième plainte en 2019 SAS Murtoli n° 19 247 468 en cours d’instruction.
Tous les écrits incriminés affirment que le complexe hôtelier a été édifié de façon illégale.
A – N° de parquet 18 326 716, le texte paru sur le site internet de U Levante :
- « Murtoli : sentier littoral de la DDTM déféré en tribunal administratif » / « en particulier, le contournement des bergeries de Murtoli » « un complexe hôtelier haut de gamme, réalisé largement sans autorisation ni permis de construire, a cristallisé la grande majorité des contestations » / « S’agissant en plus particulièrement du contournement des bergeries de Murtoli précisons que les bergeries de Murtoli sont aujourd’hui un complexe hôtelier composé de plusieurs locations saisonnières de luxe, au demeurant érigées pour la plupart en toute illégalité, sans autorisation préalable, ni permis de construire. Le choix de contournements est principalement motivé par un raisonnement d’ordre économique et touristique ! » / « Dans ces conditions, le contournement des bergeries de Murtoli aboutit incontestablement à privatiser le littoral au profit du complexe hôtelier. Une fois encore concernant cette région de Corse on ne peut que s’étonner des libertés prises avec les textes de la part des services de l’État. L’intérêt général exige que le rivage soit accessible à tous et pas seulement aux quelques locataires d’un domaine privé ».
B – N° de parquet 19 231 253 : le texte paru sur le compte Facebook
« on essaie de faire pression sur des militants qui défendent la terre Corse et son patrimoine environnemental et qui ose dénoncer des pratiques illégales répétitives d’envergure qui font école car elles ne sont pas sanctionnées ».
C – N° de parquet 19 015 513 : le texte paru sur le site internet de U Levante
« Effarant de voir les repreneurs du domaine de Sperone (construit en partie illégalement) présenter leur projet à Murtoli (lui aussi construit illégalement) et assurer qu’il respecte le PADDUC et la loi littoral ».… « Bien vu et si vrai ! ».
Le texte concerne encore le fait que le complexe hôtelier de Murtoli a été édifié de façon illégale.
N° de parquet 19 247 468 – Cette affaire reste en cours d’instruction, voici le texte paru :
« Murtoli : énième construction sans permis
Le texte concerne également le fait que le complexe hôtelier a été édifié de façon illégale.
« sur recours de l’État, le tribunal administratif a annulé le PC délivré en régularisation d’une construction déjà érigée … en zone inconstructible. »
« Quelques jours plus tard ( !) le 23 janvier 2018, la SCI A bandera dont le gérant est monsieur Paul Canarelli, sollicite auprès du maire de Sartène la délivrance d’un permis de construire portant sur l’extension d’un bâtiment existant qui constitue le bâtiment d’accueil d’un complexe hôtelier dit « domaine de Murtoli » d’une surface de plancher nouvelle de 127 m², aux fins de régulariser la construction déjà réalisée de cette extension. »
« le tribunal administratif a annulé le permis donné par le maire à la SCI A Bandera pour les égalités suivantes ».
« voici une énième construction sans permis à Murtoli ».
P. Canarelli est coutumier des plaintes en diffamation donnant lieu à un jugement de relaxe*.
*Plainte P. Canarelli contre des journalistes du 31 mars 2017 et jugement de relaxe du 14 mai 2021 n° parquet 17095/428 et plainte P. Canarelli et SAS Murtoli du 21 juillet 2017 et jugement de relaxe du 11 mars 2022 n° 17219/347.
Toutes ces plaintes sont manifestement de procédures « bâillon » qui détournent de leur objectif la loi du 29 juillet 1881. Les procédures contre U Levante ont été jugées “abusives” et ont donné lieu à une amende.