La clean beauty comme nouvelle norme
L'univers de la cosmétique et des soins n'a jamais été aussi tourné vers demain.
La Clean Beauty comme nouvelle norme
L’univers de la cosmétique et des soins n’a jamais été aussi tourné vers demain. Les consommateurs poussent les acteurs du milieu à inventer ou réinventer les compositions, vers plus de respect et d’écoresponsabilité. Un phénomène enclenché pour un retour en arrière désormais impossible.
« Clean » pour propre, « beauty » pour beauté.
Aujourd’hui, le monde des soins, des cosmétiques et des produits d’hygiène est certes contrôlé en interne, mais aussi et surtout scruté par les consommateurs. Car il n’est désormais plus question de proposer des produits « qui sentent bon », « qui réduisent les rides » ou « qui pénètrent en profondeur ». L’enjeu du XXIème siècle est tourné vers l’éthique.
Avant, les ingrédients contenus dans un produit étaient évalués au taux de confiance conférée par le consommateur au professionnel.
En 2020, grâce à des applications comme « Yuka » ou « Clean Beauty » sur smartphone, il est possible de scanner le code barre d’un produit pour en connaitre tous les secrets, avec des indicateurs de vertus ou de dangerosité selon les formules.
Selon Kantar Worldpanel, l’influence de ces applications utilisées sur les produits d’hygiène beauté a touché 5,1 millions de consommateurs en septembre 2019.
Allergènes, composants chimiques, perturbateurs endocriniens, tests sur animaux… Les études ont fleuri ces dernières années pour pointer du doigt les limites de ces produits qui « nous veulent du bien », commercialisés par de grands noms porteurs. D’ailleurs, le terme « Clean Beauty » prendrait ses racines aux Etats-Unis à partir de 2019 face à une certaine carence quant à la réglementation du milieu.
Faire le tri entre réelles propositions et coups de marketing est donc devenu la nouvelle norme. Déodorants sains, soins en poudre, shampoings solides, formules écologiques, packaging rechargeables ou écoconçus… Moins de déchets, moins d’ingrédients controversés, plus de transparence, à moindre coût.
Les nouveaux maquillages proposent d’embellir et de soigner. C’est le cas de la maison Typology qui propose un fond de teint dont la formule est à 99% d’origine naturelle, sobrement intitulé TEINT pour une valeur de 23,50€ (www.typology.com)
Ou encore la maison qui monte, My Mira, qui propose des élixirs 100% naturels pour tous types d’usages. Peau, cheveux, barbe… Les huiles sont sourcées et naturelles, seules ou en cocktails, à partir de 5,90 € (www.mymira.fr).
En Corse, la marque IMMORTALE propose des produits inspirés par la Nature insulaire, 100% vegan et Made in Corsica (www.immortalecorsica.com).
Enfin, pour celles et ceux qui souhaitent créer leurs propres formules à bases d’huiles végétales et essentielles, rendez-vous directement auprès des producteurs, comme Julien Fauconnier, cueilleur, distillateur, créateur d’hydrolats et d’huiles précieuses, de la terre au flacon, à Tesa ou sur le site www.huiles-essentielles.biz.
J.S.
L’univers de la cosmétique et des soins n’a jamais été aussi tourné vers demain. Les consommateurs poussent les acteurs du milieu à inventer ou réinventer les compositions, vers plus de respect et d’écoresponsabilité. Un phénomène enclenché pour un retour en arrière désormais impossible.
« Clean » pour propre, « beauty » pour beauté.
Aujourd’hui, le monde des soins, des cosmétiques et des produits d’hygiène est certes contrôlé en interne, mais aussi et surtout scruté par les consommateurs. Car il n’est désormais plus question de proposer des produits « qui sentent bon », « qui réduisent les rides » ou « qui pénètrent en profondeur ». L’enjeu du XXIème siècle est tourné vers l’éthique.
Avant, les ingrédients contenus dans un produit étaient évalués au taux de confiance conférée par le consommateur au professionnel.
En 2020, grâce à des applications comme « Yuka » ou « Clean Beauty » sur smartphone, il est possible de scanner le code barre d’un produit pour en connaitre tous les secrets, avec des indicateurs de vertus ou de dangerosité selon les formules.
Selon Kantar Worldpanel, l’influence de ces applications utilisées sur les produits d’hygiène beauté a touché 5,1 millions de consommateurs en septembre 2019.
Allergènes, composants chimiques, perturbateurs endocriniens, tests sur animaux… Les études ont fleuri ces dernières années pour pointer du doigt les limites de ces produits qui « nous veulent du bien », commercialisés par de grands noms porteurs. D’ailleurs, le terme « Clean Beauty » prendrait ses racines aux Etats-Unis à partir de 2019 face à une certaine carence quant à la réglementation du milieu.
Faire le tri entre réelles propositions et coups de marketing est donc devenu la nouvelle norme. Déodorants sains, soins en poudre, shampoings solides, formules écologiques, packaging rechargeables ou écoconçus… Moins de déchets, moins d’ingrédients controversés, plus de transparence, à moindre coût.
Les nouveaux maquillages proposent d’embellir et de soigner. C’est le cas de la maison Typology qui propose un fond de teint dont la formule est à 99% d’origine naturelle, sobrement intitulé TEINT pour une valeur de 23,50€ (www.typology.com)
Ou encore la maison qui monte, My Mira, qui propose des élixirs 100% naturels pour tous types d’usages. Peau, cheveux, barbe… Les huiles sont sourcées et naturelles, seules ou en cocktails, à partir de 5,90 € (www.mymira.fr).
En Corse, la marque IMMORTALE propose des produits inspirés par la Nature insulaire, 100% vegan et Made in Corsica (www.immortalecorsica.com).
Enfin, pour celles et ceux qui souhaitent créer leurs propres formules à bases d’huiles végétales et essentielles, rendez-vous directement auprès des producteurs, comme Julien Fauconnier, cueilleur, distillateur, créateur d’hydrolats et d’huiles précieuses, de la terre au flacon, à Tesa ou sur le site www.huiles-essentielles.biz.
J.S.