EVENTI E FATTI
A l'accorta cette semaine
EVENTI E FATTI
Dialogue populaire et débat démocratique
La fédération de Corse-du-Sud du Parti communiste (PCF) a organisé à Aiacciu, dans le quartier des Salines, la traditionnelle fête de Terre Corse (bulletin d’information et de débat des communistes corses). L’événement a attiré plusieurs dizaines de militants et sympathisants. Des personnalités associatives, syndicales et politiques de gauche, des experts ainsi que des élus nationalistes avaient été invités et ont répondu présents. Marc-Antoine Leroy, secrétaire de la section ajaccienne du PCF, a souligné la volonté d’ouverture des communistes sudistes : « La vocation de cette manifestation est d’être un lieu de dialogue populaire […] Notre parti encourage le débat démocratique, y compris au-delà de notre famille politique. » Jean-Paul Lecoq, député PCF de Seine-Maritime, membre de la commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale, a éclairé et animé un débat sur le conflit israélo-palestinien et ses incidences sur les parties en présence et au niveau international. Paul-André Colombani, député Partitu di a Nazione Corsa de la deuxième circonscription de la Corse-du-Sud, la professeure en droit public Wanda Mastor, l’historien Roger Martelli, Patrice Bossart, le secrétaire général de la CGT de Corse-du-Sud, et Don Joseph Luccioni, conseiller de Corse Femu a Corsica, ont échangé à propos du processus d’autonomie et de ce qu’impliquerait cette évolution institutionnelle dans le devenir économique, social et culturel de la Corse et le quotidien des Corses.
Tamantu dolu !
Ghjuvan Marcu Camurati, militante à u serviziu di a Corsica è di u populu corsu, si n’ — andatu à l’Eternu. Mandemu e nostre sincere è afflitte cunduglianze à tutt’i soi. L’umagiu è l’avvedeci di u gruppu L’Arcusgi, i so fratelli d’amicizia, di musica, di cultura è di lotta : « À nutiziaccia hè cascata… Ci mancanu e parulle pè sprime a smensa ferita, u smensu dulore chì ci tocca… Ghjuvan Marcu Camurati si n’ — andatu à raghjunghje e stelle sopr’u celu d’Euskal Herria è di Corsica i so dui paesi… Ghjuvan’Marcu era un’omone ghjudiziosu è discretu è si puderebbe fà un libru d’elogi nant’u so campà… u so esse… ! Per noi era più ch’un cumpagnu, era un veru fratellu, un puntellu maiò di u gruppu dapoi 40 anni sempre dispunibile è creativu nant’u solcu di a nostra andatura. Oghje di pettu a stu crudele dolu u core aghjaditu pienghjimu un fratellu, l’assenza serà dura è u ricordu eternu. Mandemu un’ abbracciu cù e nostre sincere è afflitte cunduglianze à tutt’i soii cù un pensà adduluratu per a so moglia Cecile, a so figliola Maria è u so figliolu Matteu, membre è cumpagnu di u gruppu. « Gure lagun ta anaiari, betirako oroitzapenari…Avvedeci ò Ghjuvan’Marcu è riposa in santa pace … Mai ùn ci scurderemu. »
Crédit photo : Gruppu L’arcusgi
Indignons-nous !
Bombages en bord de route (croix gammée, inscriptions calomnieuses) dénigrant Monseigneur le Cardinal Bustillo. Notre confrère et ami Alexandre Santerian a justement écrit sur sa page Corsicamag qu’il ne faut pas laisser place à la colère. Comme d’ailleurs, en l’absence de revendication, il convient de ne pas accuser X ou Y. Il convient en revanche d’exprimer son indignation et de condamner fermement cet acte qui traduit une volonté de salir une personnalité qui est engagée au service de la société corse, qui est proche des fidèles et à l’écoute de tous, qui œuvre avec constance pour le dialogue, la fraternité et la paix, et grâce auquel la Corse a eu l’honneur et la joie de recevoir le Pape François.
La volonté d’agir pour préserver le trait de côte
Jean-Charles Orsucci, maire de Bunifaziu, a été aisément élu président de l’ANEL (Association nationale des élus du littoral). L’ANEL représente les élus de plus de la moitié des communes, intercommunalités, départements et régions maritimes de métropole et d’outre-mer autour des enjeux spécifiques de ces territoires, notamment les enjeux de développement durable et de protection environnementale. L’ANEL est une force de propositions. Elle participe aux travaux de nombreux organismes officiels (Conseil National de la Mer et des Littoraux, Conseil National du Tourisme, Comité national de l’Eau et le Cercle français de l’Eau, Conservatoire du Littoral, Conseil Supérieur de la Navigation de Plaisance et des Sports Nautiques...) Elle travaille également avec des associations d’élus de collectivités territoriales (Association des Maires de France, Association Nationale des Élus des Territoires Touristiques, Association Nationale des Élus de la Montagne, Association des Régions de France, Assemblée des Départements de France…) Actuellement, dotée d’un budget annuel de 950 000 euros, l’ANEL se consacre au lobbying et au conseil auprès des élus. Le gouvernement Bayrou n’a pas donné une suite favorable à la demande de l’association de disposer de financements pour agir directement contre les phénomènes d’érosion et de recul du trait de côte. Jean-Charles Orsucci a fait part de sa volonté de plaider pour que les prochains projets de loi de finances intègrent un mécanisme d’aide de l’État vers les collectivités littorales sur la base de recettes nouvelles, afin que ces collectivités puissent financer des chantiers pour préserver autant que possible le trait de côte. Il agira aussi concernant sur les transports pour que, comme l’a demandé un membre de l’ANEL, soit mise en place “une solidarité nationale vis-à-vis de l’insularité […] qui soit adaptée à ses spécificités” et “qu’on admette enfin que la notion d’archipel existe en France”, car chaque île est “un pays en lui-même.” Jean-Charles Orsucci rappelant qu’à Bunifaziu, 55 % des logements sont des résidences secondaires et que si on ne faisait rien, la trajectoire irait vers 60 à 70 %, a aussi évoqué la nécessité pour l’ANEL de travailler à trouver des solutions pour maîtriser l’extension des résidences secondaires.
Crédit photo : ANEL, Cità di Portivechju
Une armée mexicaine à Bastia ?
Frédéric Poletti, le citoyen et opposant qui dissèque et explique les politiques de la municipalité de Bastia, et auquel le plus souvent cette dernière ne réplique pas, a passé au crible la masse salariale de la ville (avec schéma à l’appui). Selon lui, alors que le DOB 2024 (Document d’orientation budgétaire) annonçait une masse salariale de 36,57 M€ (+4,12 %), six mois plus tard, le budget affecté aurait été de 37 127 M€, et l’exécution aurait clôturé à 37 067 M€. Commentaire : “La mairie savait que ça coûterait plus cher, mais a préféré vendre un chiffre allégé dans son DOB”. L’intéressé a ainsi pourfendu la gestion des effectifs : “À Bastia, la pyramide des effectifs municipaux ressemble à tout sauf à une pyramide. Sur 684 équivalents temps plein, on trouve : 534 agents de catégorie C (80 %), 53 de catégorie B (à peine 8 %), 80 cadres A (12 %). Résultat aberrant : il y a plus de cadres supérieurs que d’agents intermédiaires. Pire encore, un cadre A sur cinq n’est même pas titulaire, recruté hors concours et est donc dépendant du pouvoir politique. Cette organisation n’est pas neutre […] La filière administrative de la Ville de Bastia est une caricature d’‘armée mexicaine’. Sur 160 équivalents temps plein, on compte plus de cadres A que d’agents B : 53,5 contre 19,6. L’échelon intermédiaire, qui devrait porter l’ensemble, a quasiment disparu. Pendant ce temps, la strate des A se gonfle artificiellement, et plus d’un sur cinq est contractuel, donc à la merci du bon vouloir politique […] Au bout du compte, ce sont toujours les mêmes qui paient. Les agents de catégorie C, 80 % des effectifs, font tourner la ville chaque jour, mais sont condamnés à rester au bas de l’échelle, sans reconnaissance. Ces agents nettoient, entretiennent, accueillent, font tourner les services publics, mais restent les laissés-pour-compte. Pendant ce temps, l’échelon intermédiaire est sacrifié et l’échelon supérieur se gave de postes contractuels, taillés sur mesure pour le politique […] Et comme si ça ne suffisait pas, la mairie a inventé une nouvelle case : les emplois non cités/grades non statutaires”. Traduction : des postes hors cadre, hors statut, hors concours. En 2018, cette ligne n’existait pas. En 2024, elle sert à loger 16 créés sur mesure pour contourner les règles. Des emplois plus chers, plus précaires, mais surtout plus dociles. Bastia n’a pas seulement gonflé sa masse salariale en contractuels : elle a institutionnalisé le bricolage, fabriqué une filière fantôme pour recruter qui elle veut, comme elle veut. »
L’OCDE a planché à Aiacciu
Les ambassadeurs des 38 pays membres de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) conduits par leur secrétaire général Mathias Cormann, ont été dernièrement accueillis à la Cité Grossetti pour y entamer leurs travaux. C’est en effet à Aiacciu que cette importante institution internationale a choisi d’organiser son séminaire annuel. L’OCDE a pour mission de favoriser la coopération économique entre ses 38 États membres, principalement des pays développés, et de promouvoir des politiques publiques efficaces pour améliorer la qualité de vie des citoyens (promotion de politiques économiques de croissance durable et inclusive, élaboration de normes internationales et de recommandations, études et statistiques sur divers sujets économiques et sociaux fournissant des données d’aide à la décision). L’OCDE joue donc un rôle important dans la formulation de politiques économiques et sociales à l’échelle mondiale.
Crédit photo : Cità d’Aiacciu
Dialogue populaire et débat démocratique
La fédération de Corse-du-Sud du Parti communiste (PCF) a organisé à Aiacciu, dans le quartier des Salines, la traditionnelle fête de Terre Corse (bulletin d’information et de débat des communistes corses). L’événement a attiré plusieurs dizaines de militants et sympathisants. Des personnalités associatives, syndicales et politiques de gauche, des experts ainsi que des élus nationalistes avaient été invités et ont répondu présents. Marc-Antoine Leroy, secrétaire de la section ajaccienne du PCF, a souligné la volonté d’ouverture des communistes sudistes : « La vocation de cette manifestation est d’être un lieu de dialogue populaire […] Notre parti encourage le débat démocratique, y compris au-delà de notre famille politique. » Jean-Paul Lecoq, député PCF de Seine-Maritime, membre de la commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale, a éclairé et animé un débat sur le conflit israélo-palestinien et ses incidences sur les parties en présence et au niveau international. Paul-André Colombani, député Partitu di a Nazione Corsa de la deuxième circonscription de la Corse-du-Sud, la professeure en droit public Wanda Mastor, l’historien Roger Martelli, Patrice Bossart, le secrétaire général de la CGT de Corse-du-Sud, et Don Joseph Luccioni, conseiller de Corse Femu a Corsica, ont échangé à propos du processus d’autonomie et de ce qu’impliquerait cette évolution institutionnelle dans le devenir économique, social et culturel de la Corse et le quotidien des Corses.
Tamantu dolu !
Ghjuvan Marcu Camurati, militante à u serviziu di a Corsica è di u populu corsu, si n’ — andatu à l’Eternu. Mandemu e nostre sincere è afflitte cunduglianze à tutt’i soi. L’umagiu è l’avvedeci di u gruppu L’Arcusgi, i so fratelli d’amicizia, di musica, di cultura è di lotta : « À nutiziaccia hè cascata… Ci mancanu e parulle pè sprime a smensa ferita, u smensu dulore chì ci tocca… Ghjuvan Marcu Camurati si n’ — andatu à raghjunghje e stelle sopr’u celu d’Euskal Herria è di Corsica i so dui paesi… Ghjuvan’Marcu era un’omone ghjudiziosu è discretu è si puderebbe fà un libru d’elogi nant’u so campà… u so esse… ! Per noi era più ch’un cumpagnu, era un veru fratellu, un puntellu maiò di u gruppu dapoi 40 anni sempre dispunibile è creativu nant’u solcu di a nostra andatura. Oghje di pettu a stu crudele dolu u core aghjaditu pienghjimu un fratellu, l’assenza serà dura è u ricordu eternu. Mandemu un’ abbracciu cù e nostre sincere è afflitte cunduglianze à tutt’i soii cù un pensà adduluratu per a so moglia Cecile, a so figliola Maria è u so figliolu Matteu, membre è cumpagnu di u gruppu. « Gure lagun ta anaiari, betirako oroitzapenari…Avvedeci ò Ghjuvan’Marcu è riposa in santa pace … Mai ùn ci scurderemu. »
Crédit photo : Gruppu L’arcusgi
Indignons-nous !
Bombages en bord de route (croix gammée, inscriptions calomnieuses) dénigrant Monseigneur le Cardinal Bustillo. Notre confrère et ami Alexandre Santerian a justement écrit sur sa page Corsicamag qu’il ne faut pas laisser place à la colère. Comme d’ailleurs, en l’absence de revendication, il convient de ne pas accuser X ou Y. Il convient en revanche d’exprimer son indignation et de condamner fermement cet acte qui traduit une volonté de salir une personnalité qui est engagée au service de la société corse, qui est proche des fidèles et à l’écoute de tous, qui œuvre avec constance pour le dialogue, la fraternité et la paix, et grâce auquel la Corse a eu l’honneur et la joie de recevoir le Pape François.
La volonté d’agir pour préserver le trait de côte
Jean-Charles Orsucci, maire de Bunifaziu, a été aisément élu président de l’ANEL (Association nationale des élus du littoral). L’ANEL représente les élus de plus de la moitié des communes, intercommunalités, départements et régions maritimes de métropole et d’outre-mer autour des enjeux spécifiques de ces territoires, notamment les enjeux de développement durable et de protection environnementale. L’ANEL est une force de propositions. Elle participe aux travaux de nombreux organismes officiels (Conseil National de la Mer et des Littoraux, Conseil National du Tourisme, Comité national de l’Eau et le Cercle français de l’Eau, Conservatoire du Littoral, Conseil Supérieur de la Navigation de Plaisance et des Sports Nautiques...) Elle travaille également avec des associations d’élus de collectivités territoriales (Association des Maires de France, Association Nationale des Élus des Territoires Touristiques, Association Nationale des Élus de la Montagne, Association des Régions de France, Assemblée des Départements de France…) Actuellement, dotée d’un budget annuel de 950 000 euros, l’ANEL se consacre au lobbying et au conseil auprès des élus. Le gouvernement Bayrou n’a pas donné une suite favorable à la demande de l’association de disposer de financements pour agir directement contre les phénomènes d’érosion et de recul du trait de côte. Jean-Charles Orsucci a fait part de sa volonté de plaider pour que les prochains projets de loi de finances intègrent un mécanisme d’aide de l’État vers les collectivités littorales sur la base de recettes nouvelles, afin que ces collectivités puissent financer des chantiers pour préserver autant que possible le trait de côte. Il agira aussi concernant sur les transports pour que, comme l’a demandé un membre de l’ANEL, soit mise en place “une solidarité nationale vis-à-vis de l’insularité […] qui soit adaptée à ses spécificités” et “qu’on admette enfin que la notion d’archipel existe en France”, car chaque île est “un pays en lui-même.” Jean-Charles Orsucci rappelant qu’à Bunifaziu, 55 % des logements sont des résidences secondaires et que si on ne faisait rien, la trajectoire irait vers 60 à 70 %, a aussi évoqué la nécessité pour l’ANEL de travailler à trouver des solutions pour maîtriser l’extension des résidences secondaires.
Crédit photo : ANEL, Cità di Portivechju
Une armée mexicaine à Bastia ?
Frédéric Poletti, le citoyen et opposant qui dissèque et explique les politiques de la municipalité de Bastia, et auquel le plus souvent cette dernière ne réplique pas, a passé au crible la masse salariale de la ville (avec schéma à l’appui). Selon lui, alors que le DOB 2024 (Document d’orientation budgétaire) annonçait une masse salariale de 36,57 M€ (+4,12 %), six mois plus tard, le budget affecté aurait été de 37 127 M€, et l’exécution aurait clôturé à 37 067 M€. Commentaire : “La mairie savait que ça coûterait plus cher, mais a préféré vendre un chiffre allégé dans son DOB”. L’intéressé a ainsi pourfendu la gestion des effectifs : “À Bastia, la pyramide des effectifs municipaux ressemble à tout sauf à une pyramide. Sur 684 équivalents temps plein, on trouve : 534 agents de catégorie C (80 %), 53 de catégorie B (à peine 8 %), 80 cadres A (12 %). Résultat aberrant : il y a plus de cadres supérieurs que d’agents intermédiaires. Pire encore, un cadre A sur cinq n’est même pas titulaire, recruté hors concours et est donc dépendant du pouvoir politique. Cette organisation n’est pas neutre […] La filière administrative de la Ville de Bastia est une caricature d’‘armée mexicaine’. Sur 160 équivalents temps plein, on compte plus de cadres A que d’agents B : 53,5 contre 19,6. L’échelon intermédiaire, qui devrait porter l’ensemble, a quasiment disparu. Pendant ce temps, la strate des A se gonfle artificiellement, et plus d’un sur cinq est contractuel, donc à la merci du bon vouloir politique […] Au bout du compte, ce sont toujours les mêmes qui paient. Les agents de catégorie C, 80 % des effectifs, font tourner la ville chaque jour, mais sont condamnés à rester au bas de l’échelle, sans reconnaissance. Ces agents nettoient, entretiennent, accueillent, font tourner les services publics, mais restent les laissés-pour-compte. Pendant ce temps, l’échelon intermédiaire est sacrifié et l’échelon supérieur se gave de postes contractuels, taillés sur mesure pour le politique […] Et comme si ça ne suffisait pas, la mairie a inventé une nouvelle case : les emplois non cités/grades non statutaires”. Traduction : des postes hors cadre, hors statut, hors concours. En 2018, cette ligne n’existait pas. En 2024, elle sert à loger 16 créés sur mesure pour contourner les règles. Des emplois plus chers, plus précaires, mais surtout plus dociles. Bastia n’a pas seulement gonflé sa masse salariale en contractuels : elle a institutionnalisé le bricolage, fabriqué une filière fantôme pour recruter qui elle veut, comme elle veut. »
L’OCDE a planché à Aiacciu
Les ambassadeurs des 38 pays membres de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) conduits par leur secrétaire général Mathias Cormann, ont été dernièrement accueillis à la Cité Grossetti pour y entamer leurs travaux. C’est en effet à Aiacciu que cette importante institution internationale a choisi d’organiser son séminaire annuel. L’OCDE a pour mission de favoriser la coopération économique entre ses 38 États membres, principalement des pays développés, et de promouvoir des politiques publiques efficaces pour améliorer la qualité de vie des citoyens (promotion de politiques économiques de croissance durable et inclusive, élaboration de normes internationales et de recommandations, études et statistiques sur divers sujets économiques et sociaux fournissant des données d’aide à la décision). L’OCDE joue donc un rôle important dans la formulation de politiques économiques et sociales à l’échelle mondiale.
Crédit photo : Cità d’Aiacciu