EVENTI E FATTI
A l'accorta cette semaine
L’ACA met en vente des cartes de soutien
Désormais en Régional 2, après avoir été sauvé de la disparition par des socioprofessionnels et des supporters ayant le rouge et blanc au cœur, l’ACA reste un club fragile. Pour consolider les finances et poursuivre la reconstruction, l’équipe dirigeante a procédé à l’émission et la mise en vente de cartes de soutien d’une valeur de 20 euros. Ces cartes sont disponibles dans neuf points de vente situés à Aiacciu : Brasserie Chiara (place du Diamant), Dolci Nustrale (avenue Noël Franchini), Maison Bonaparte (rue Roi de Rome), La Petite Brasserie (rue Fesch), Boucherie Fattaccio (rue Bonaparte), IFAPE (Asprettu), Bar du Stade (Binda), Salon L’Atmosphère (Finusellu), Gamm'Vert (ancienne route de Sartène). « Même si notre situation s’est améliorée au fil des jours, le chemin tracé devant nous est encore long » a fait savoir avec franchise et responsabilité l’équipe dirigeante.
Christophe Mondoloni aime Sartè
Adjoint au maire à Aiacciu depuis douze ans, également un des vice-présidents de la CAPA (Communauté d’Agglomération du Pays Ajaccien), Christophe Mondoloni a officiellement annoncé qu’à l’occasion des élections municipales de mars prochain, il conduira une liste à Sartè, cité dont il est originaire. Ayant fortement contribué dans le cadre de ses délégations à l’animation et au rayonnement d’Aiacciu, ainsi qu’à la valorisation de la Corse, de sa langue et de sa culture, très estimé par les élus et les personnels de la Ville et de la CAPA, connu, apprécié voire aimé à Aiacciu et au-delà (outre pour son action d’élu et d’artiste, pour ses rendez-vous journaliers en paroles et musique sur le Net durant le confinement COVID), Christophe Mondoloni renonce à une zone de confort et de réussite pour un challenge qui n’est pas sans risque. Sa motivation affective, de cœur, que partagent celles et ceux qui l’accompagneront : « remettre Sartène à la place qui est la sienne : celle d’une ville forte, en paix, digne de son histoire, respectueuse de son avenir. » Sa volonté politique ainsi résumable : mettre au service de Sartè et ses habitants, son expérience d’élu, sa connaissance de la vie publique (fonctionnement des institutions, circuits administratifs, collecte et mobilisation de financements, concertation) ainsi que son réseau humain, artistique, culturel, politique et économique. « Dans la vie, il faut savoir rendre. Ma ville de Sartène m’a beaucoup donné » a-t-il confié à une de ses connaissances.
(Photo : Cità d’Aiacciu, Christophe Mondoloni)
Santa Maria di Lota dit « Stop! » et « Assez ! »
Santa Maria di Lota va réguler la construction de résidences secondaires et le recours aux meublés de tourisme dès 2026 notamment afin de « lutter contre la spéculation foncière » et de « maintenir une population permanente à l’année ». Deux mesures : « stop! » aux résidences secondaires (instauration d’une servitude de résidence principale dans le plan local d’urbanisme, les nouvelles constructions devront être à usage exclusif de résidence principale) ; « assez ! » aux propriétaires de meublés de tourisme (limitation de la location à 90 jours par an au lieu de 120). Le maire, Guy Armanet, a ainsi expliqué la nécessité et l’urgence de ces mesures : résidences secondaires représentant plus de 20 % du parc immobilier ; augmentation des acquisitions à des fins de résidence secondaire étant allée crescendo ces dernières années ; multiplications d’acquisitions foncières afin de réaliser des programmes immobiliers à usage de location saisonnière ; permettre un accès au logement pour les ménages locaux ; favoriser l’installation de jeunes ménages. L’opposition s’est abstenue en émettant des réserves. Selon elle, la commune ayant une vocation résidentielle et étant classée touristique de par son littoral, n’aurait pas forcément vocation à n’avoir que des résidences principales, d’autant plus que la plupart des résidences secondaires sont occupées par des personnes originaires de la commune, qui vivent sur le continent et souhaitent revenir de temps en temps. Nul doute que les élections municipales approchant, le débat est loin d’être clos.
Calvi aura bientôt son théâtre de verdure
Le chantier du théâtre de verdure va bon train. Les travaux seront achevés fin janvier prochain. Implanté au pied de la Citadelle, ce nouvel outil culturel pourra accueillir jusqu’à 1750 spectateurs assis et 3000 spectateurs debout. Une programmation 2026 est en cours d’élaboration. Elle comprendra différentes expressions de spectacle vivant et de grands concerts. Le théâtre de verdure est un équipement structurant dont la construction a été prise en compte dans le projet de restauration de la Citadelle de Calvi associant l’État et la commune de Calvi. De ce fait, cette construction est financée à hauteur de 73 % par l’État dans le cadre du PTIC (Plan de Transformation et d’Investissement pour la Corse). (Photo : Mairie de Calvi)
Dotation de continuité territoriale : « Pourvu que ça dure ! »
La ministre de l’Aménagement du territoire et de la décentralisation a annoncé une augmentation de 50 M€ de la dotation annuelle de continuité territoriale dont l’objet est de réduire les contraintes de l’insularité. Ceci pour « couvrir l’augmentation des prix du carburant et l’intensification des trafics » et « traduire l’engagement total de l’État » a précisé la ministre dans un communiqué. En principe, le montant 2026 de l’enveloppe sera donc : 237 M€. Douche certes pas froide mais certainement moins chaude qu’il y a quelques semaines pour Michel Castellani. Le député Femu a Corsica de la première circonscription de Haute-Corse s’était félicité, fin octobre, d’avoir obtenu de la commission des finances de l’Assemblée nationale, l’adoption d’un amendement au projet de budget 2026 prévoyant une rallonge de 60 M€, ainsi qu’une indexation annuelle et automatique de la dotation sur l’inflation « qui dispenserait la Corse de pénibles négociations à Bercy, en commission et dans l’hémicycle chaque année ». Gilles Simeoni a pour sa part fait contre mauvaise fortune bon cœur en saluant « un premier pas significatif de la part du Gouvernement » mais a aussi bombé le torse : « Ce premier pas, qui consacre un droit et non pas une faveur, mérite d’être complété ». Lætitia Bonaparte, mère de Napoleon 1er, aurait sans doute plus sobrement, prudemment et pertinemment commenté : « Pourvu que ça dure, au moins pour les 50 M€ chaque année », car, femme de tête, elle aurait pris en compte qu’au sein de la représentation nationale, une grogne s’est manifestée et pourrait se développer du fait notamment des difficultés budgétaires de L’État. En effet, Philippe Juvin, député Les Républicains, rapporteur général du budget à l’Assemblée nationale, a déclaré : « Le meilleur moyen d’assurer la continuité en Corse, c’est d’ouvrir davantage à la concurrence le transport, puisqu’actuellement, il y a un monopole qui fait que tout cela est très cher, et peu organisé. »
photo (UNITI)
Le FLNKS a dit définitivement non
Le Front de libération nationale kanak et socialiste (FLNKS) a confirmé rejeter la consultation sur l’accord de Bougival prévue par le gouvernement en Nouvelle-Calédonie, la dénonçant « juridiquement bancale et dénuée de toute légitimité démocratique ». Le FLNKS a ajouté constater que « l’État français a définitivement choisi la voie de l’entêtement, du passage en force et de la menace politique ». La ministre des Outre-mer qui avait annoncé lors d’un récent déplacement dans l’archipel, la tenue de cette consultation aurait cependant d’ores et déjà demandé à la présidence du Congrès de Nouvelle-Calédonie d’inscrire à l’ordre du jour, l’examen pour avis d’un projet de loi fixant les conditions de la consultation (celle-ci devrait avoir lieu au plus tard le 15 mars 2026). La question posée serait : « Êtes-vous favorable à la mise en œuvre de l’accord de Bougival publié le 6 septembre 2025 au Journal officiel de la République française ? » La consultation devait initialement avoir lieu après l’adoption d’une loi constitutionnelle permettant la mise en œuvre de l’accord de Bougival.
Bastia : UNITI veut restituer du pouvoir d’achat
« Depuis dix ans, Bastia subit une hausse continue des prélèvements, des tarifs et des coûts supportés par les familles, sans que la qualité du service public s’améliore de manière perceptible. Cette spirale a fragilisé le pouvoir d’achat » a déclaré, lors d’un point presse, Julien Morganti qui conduira la liste de la coalition d’opposition municipale UNITI. L’intéressé a énoncé à l’appui : 23 % de pauvreté à Bastia contre 14 % dans l’Hexagone/ Taxe d’ordures ménagères : + 50 %/ Ticket de bus : + 13 %/ Suppression des navettes gratuites du centre-ville/ Prix de l’eau et de l’assainissement : + 39 %, Redevance spéciale pour les déchets professionnels : + 550 %/ Tarifs du domaine public pour les terrasses : +10 %. Pour affirmer une volonté de « changement complet de logique » devant « permettre aux Bastiais de vivre mieux dans leur ville, grâce à une politique tarifaire juste, à des services publics renforcés et à une vision claire », il a notamment annoncé : à l’école, gratuité des petits déjeuner et goûter, et aide aux devoirs pour tous ; gratuité des transports en commun ; pour les déchets ménagers, une redevance incitative ; pour le prix de l’Eau, tarification éco-solidaire avec gratuité pour les premiers 15 min 3 s ; pour l’habitat social, priorité aux Bastiais.
photo : JDC
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Désormais en Régional 2, après avoir été sauvé de la disparition par des socioprofessionnels et des supporters ayant le rouge et blanc au cœur, l’ACA reste un club fragile. Pour consolider les finances et poursuivre la reconstruction, l’équipe dirigeante a procédé à l’émission et la mise en vente de cartes de soutien d’une valeur de 20 euros. Ces cartes sont disponibles dans neuf points de vente situés à Aiacciu : Brasserie Chiara (place du Diamant), Dolci Nustrale (avenue Noël Franchini), Maison Bonaparte (rue Roi de Rome), La Petite Brasserie (rue Fesch), Boucherie Fattaccio (rue Bonaparte), IFAPE (Asprettu), Bar du Stade (Binda), Salon L’Atmosphère (Finusellu), Gamm'Vert (ancienne route de Sartène). « Même si notre situation s’est améliorée au fil des jours, le chemin tracé devant nous est encore long » a fait savoir avec franchise et responsabilité l’équipe dirigeante.
Christophe Mondoloni aime Sartè
Adjoint au maire à Aiacciu depuis douze ans, également un des vice-présidents de la CAPA (Communauté d’Agglomération du Pays Ajaccien), Christophe Mondoloni a officiellement annoncé qu’à l’occasion des élections municipales de mars prochain, il conduira une liste à Sartè, cité dont il est originaire. Ayant fortement contribué dans le cadre de ses délégations à l’animation et au rayonnement d’Aiacciu, ainsi qu’à la valorisation de la Corse, de sa langue et de sa culture, très estimé par les élus et les personnels de la Ville et de la CAPA, connu, apprécié voire aimé à Aiacciu et au-delà (outre pour son action d’élu et d’artiste, pour ses rendez-vous journaliers en paroles et musique sur le Net durant le confinement COVID), Christophe Mondoloni renonce à une zone de confort et de réussite pour un challenge qui n’est pas sans risque. Sa motivation affective, de cœur, que partagent celles et ceux qui l’accompagneront : « remettre Sartène à la place qui est la sienne : celle d’une ville forte, en paix, digne de son histoire, respectueuse de son avenir. » Sa volonté politique ainsi résumable : mettre au service de Sartè et ses habitants, son expérience d’élu, sa connaissance de la vie publique (fonctionnement des institutions, circuits administratifs, collecte et mobilisation de financements, concertation) ainsi que son réseau humain, artistique, culturel, politique et économique. « Dans la vie, il faut savoir rendre. Ma ville de Sartène m’a beaucoup donné » a-t-il confié à une de ses connaissances.
(Photo : Cità d’Aiacciu, Christophe Mondoloni)
Santa Maria di Lota dit « Stop! » et « Assez ! »
Santa Maria di Lota va réguler la construction de résidences secondaires et le recours aux meublés de tourisme dès 2026 notamment afin de « lutter contre la spéculation foncière » et de « maintenir une population permanente à l’année ». Deux mesures : « stop! » aux résidences secondaires (instauration d’une servitude de résidence principale dans le plan local d’urbanisme, les nouvelles constructions devront être à usage exclusif de résidence principale) ; « assez ! » aux propriétaires de meublés de tourisme (limitation de la location à 90 jours par an au lieu de 120). Le maire, Guy Armanet, a ainsi expliqué la nécessité et l’urgence de ces mesures : résidences secondaires représentant plus de 20 % du parc immobilier ; augmentation des acquisitions à des fins de résidence secondaire étant allée crescendo ces dernières années ; multiplications d’acquisitions foncières afin de réaliser des programmes immobiliers à usage de location saisonnière ; permettre un accès au logement pour les ménages locaux ; favoriser l’installation de jeunes ménages. L’opposition s’est abstenue en émettant des réserves. Selon elle, la commune ayant une vocation résidentielle et étant classée touristique de par son littoral, n’aurait pas forcément vocation à n’avoir que des résidences principales, d’autant plus que la plupart des résidences secondaires sont occupées par des personnes originaires de la commune, qui vivent sur le continent et souhaitent revenir de temps en temps. Nul doute que les élections municipales approchant, le débat est loin d’être clos.
Calvi aura bientôt son théâtre de verdure
Le chantier du théâtre de verdure va bon train. Les travaux seront achevés fin janvier prochain. Implanté au pied de la Citadelle, ce nouvel outil culturel pourra accueillir jusqu’à 1750 spectateurs assis et 3000 spectateurs debout. Une programmation 2026 est en cours d’élaboration. Elle comprendra différentes expressions de spectacle vivant et de grands concerts. Le théâtre de verdure est un équipement structurant dont la construction a été prise en compte dans le projet de restauration de la Citadelle de Calvi associant l’État et la commune de Calvi. De ce fait, cette construction est financée à hauteur de 73 % par l’État dans le cadre du PTIC (Plan de Transformation et d’Investissement pour la Corse). (Photo : Mairie de Calvi)
Dotation de continuité territoriale : « Pourvu que ça dure ! »
La ministre de l’Aménagement du territoire et de la décentralisation a annoncé une augmentation de 50 M€ de la dotation annuelle de continuité territoriale dont l’objet est de réduire les contraintes de l’insularité. Ceci pour « couvrir l’augmentation des prix du carburant et l’intensification des trafics » et « traduire l’engagement total de l’État » a précisé la ministre dans un communiqué. En principe, le montant 2026 de l’enveloppe sera donc : 237 M€. Douche certes pas froide mais certainement moins chaude qu’il y a quelques semaines pour Michel Castellani. Le député Femu a Corsica de la première circonscription de Haute-Corse s’était félicité, fin octobre, d’avoir obtenu de la commission des finances de l’Assemblée nationale, l’adoption d’un amendement au projet de budget 2026 prévoyant une rallonge de 60 M€, ainsi qu’une indexation annuelle et automatique de la dotation sur l’inflation « qui dispenserait la Corse de pénibles négociations à Bercy, en commission et dans l’hémicycle chaque année ». Gilles Simeoni a pour sa part fait contre mauvaise fortune bon cœur en saluant « un premier pas significatif de la part du Gouvernement » mais a aussi bombé le torse : « Ce premier pas, qui consacre un droit et non pas une faveur, mérite d’être complété ». Lætitia Bonaparte, mère de Napoleon 1er, aurait sans doute plus sobrement, prudemment et pertinemment commenté : « Pourvu que ça dure, au moins pour les 50 M€ chaque année », car, femme de tête, elle aurait pris en compte qu’au sein de la représentation nationale, une grogne s’est manifestée et pourrait se développer du fait notamment des difficultés budgétaires de L’État. En effet, Philippe Juvin, député Les Républicains, rapporteur général du budget à l’Assemblée nationale, a déclaré : « Le meilleur moyen d’assurer la continuité en Corse, c’est d’ouvrir davantage à la concurrence le transport, puisqu’actuellement, il y a un monopole qui fait que tout cela est très cher, et peu organisé. »
photo (UNITI)
Le FLNKS a dit définitivement non
Le Front de libération nationale kanak et socialiste (FLNKS) a confirmé rejeter la consultation sur l’accord de Bougival prévue par le gouvernement en Nouvelle-Calédonie, la dénonçant « juridiquement bancale et dénuée de toute légitimité démocratique ». Le FLNKS a ajouté constater que « l’État français a définitivement choisi la voie de l’entêtement, du passage en force et de la menace politique ». La ministre des Outre-mer qui avait annoncé lors d’un récent déplacement dans l’archipel, la tenue de cette consultation aurait cependant d’ores et déjà demandé à la présidence du Congrès de Nouvelle-Calédonie d’inscrire à l’ordre du jour, l’examen pour avis d’un projet de loi fixant les conditions de la consultation (celle-ci devrait avoir lieu au plus tard le 15 mars 2026). La question posée serait : « Êtes-vous favorable à la mise en œuvre de l’accord de Bougival publié le 6 septembre 2025 au Journal officiel de la République française ? » La consultation devait initialement avoir lieu après l’adoption d’une loi constitutionnelle permettant la mise en œuvre de l’accord de Bougival.
Bastia : UNITI veut restituer du pouvoir d’achat
« Depuis dix ans, Bastia subit une hausse continue des prélèvements, des tarifs et des coûts supportés par les familles, sans que la qualité du service public s’améliore de manière perceptible. Cette spirale a fragilisé le pouvoir d’achat » a déclaré, lors d’un point presse, Julien Morganti qui conduira la liste de la coalition d’opposition municipale UNITI. L’intéressé a énoncé à l’appui : 23 % de pauvreté à Bastia contre 14 % dans l’Hexagone/ Taxe d’ordures ménagères : + 50 %/ Ticket de bus : + 13 %/ Suppression des navettes gratuites du centre-ville/ Prix de l’eau et de l’assainissement : + 39 %, Redevance spéciale pour les déchets professionnels : + 550 %/ Tarifs du domaine public pour les terrasses : +10 %. Pour affirmer une volonté de « changement complet de logique » devant « permettre aux Bastiais de vivre mieux dans leur ville, grâce à une politique tarifaire juste, à des services publics renforcés et à une vision claire », il a notamment annoncé : à l’école, gratuité des petits déjeuner et goûter, et aide aux devoirs pour tous ; gratuité des transports en commun ; pour les déchets ménagers, une redevance incitative ; pour le prix de l’Eau, tarification éco-solidaire avec gratuité pour les premiers 15 min 3 s ; pour l’habitat social, priorité aux Bastiais.
photo : JDC
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