• Le doyen de la presse Européenne

Football : Bilal la pépite des U11_U12 DU SC BASTIA

Petite étoile montante du Sporting mais qui risque bien de devenir " la Sirius " du SC Bastia dans les années à venir
BILAL LA PÉPITE DES U11-U12 DU SCBASTIA

Petite étoile montante du Sporting mais qui risque bien de devenir « la Sirius » du SCBASTIA dans les années à venir. C’est exceptionnel, il est très difficile dans les pépinières de jeunes de tomber sur une perle rare comme Bilal. Il faut dire qu’il est très bien entouré, il grandit dans une famille où il reçoit beaucoup d’amour et de soutien, le papa, la maman et le petit dernier qui joue aussi le tout formant une cohésion parfaite. Récemment il est entré dans la catégorie U13 pour la saison 2021-2022. Il remercie tout le staff pour son soutien et ce qu’ils lui apportent depuis qu’il est au SCBASTIA.

DECOUVERTE D’UN JEUNE BASTIAIS QUI RÊVE DE DEVENIR UNE GRANDE STAR DU FOOTBALL MONDIAL

Bilal a d’abord évolué avec le club « L’ÉTOILE FILANTE BASTIAISE » durant une saison. Il rejoint ensuite le club emblématique du Sporting, le SCBASTIA dans lequel il s’intègre rapidement et se place en position de leader de sa catégorie et de son équipe. Issu de la génération 2010, Bilal il est en avance sur son âge sportivement et c’est un gaucher pur qui est doté d’un énorme potentiel technique.
Il possède de part sa vision du jeu et de son altruisme, des qualités qui lui sont reconnues par ses entraîneurs et également par le responsable de l’Académie Olivier Meurillon qui a été l’entraîneur d’un certain Kylian Mbappé en sélection équipe de France. Bilal peut être placé autant à son poste de milieu droit, milieu central, voir milieu gauche.
Il peut également tirer de son pied gauche comme de son pied droit. Bref il peut tirer des deux pieds confie l’entourage du club. S’il brille avec les jeunes du Sporting c’est qu’il fait partie du « top » de sa génération dans la région et qu’il s’impose des objectifs de réussite à lui-même. Ce qui consiste en une discipline basée sur le travail, des entraînements en club et au dehors seul, toujours en lien avec des préparateurs et coachs physiques qui le suivent.

Ces performances lui ont valu d’être déjà en contact avec des clubs de L1, L2 et clubs étrangers belges et italiens de première division. Malheureusement les invitations ont du être annulées pour cause de pandémie. Il a participé au tournoi du « Champion’s Cup » de l’Île Rousse à l’issu duquel il a été désigné meilleur joueur de Corse et meilleur butteur du tournoi. Il joue également avec l’USJFURIANI dont la saison a aussi été très compliquée. Le gamin lui est d’un sérieux désarmant, il raisonne comme un ado de 16 ou 17 ans alors qu’il n’a que 11 ans. Il est lumineux quand il parle de l’avenir et des objectifs qu’il s’est fixé, il veut aider les plus démunis, créer une association pour aider les défavorisés et il y croit tellement nul doute qu’il parviendra sûrement à ses fins si rien ne cloche.

Il est avide de savoir, il a soif d’apprendre, dans ses yeux, pas d’agressivité, sauf peut-être sur le terrain et là c’est bien normal, à 11 ans il bouscule. Il a une hygiène de vie parfaite, pas toujours fourré sur son portable. Son souhait être admis au « Pôle Espoir » d’Ajaccio. Sur son compte Instagram il a une communauté de 10,000 K d’abonnés. Il reçoit beaucoup d’encouragements de personnalités du milieu sportif. Des médias comme Telefoot, Actufoot et Plateau TV Sportif l’ont contacté c’est dire sa notoriété. Il s’est même vu proposer d’être l’ambassadeur de la marque KIPSTA, mais la famille et le jeune joueur ont décliné l’offre pour des contraintes liées au contrat.

Bilal lui a « la foi du charbonnier », il voue un attachement sans bornes à son club et bien qu’il rêve d’évoluer un jour en pro, l’école est sa priorité. Il ne veut pas se laisser griser par le miroir aux alouettes, il veut rester humble. Bilal rappelle un brillant footballeur, François Bracci pour ne pas le nommer. En rentrant de l’école, fie des devoirs, il descendait dans le jardin en terre battue du « Triolet » et il « tapait » dans le ballon.
Quand on demandait à son papa où se trouvait le fiston : « il est en bas encore à jouer au ballon ». François est devenu un grand joueur, il a joué à l’Olympique de Marseille durant des années et actuellement il est entraîneur quelque part en Afrique du Nord. Pour info au cours d’un match où il était ailier-droit il avait marqué un but de 30 m le grand « Tchoi » comme l’appelaient ses supporters.

D. Campinchi
Partager :