Handball : La capitaine courage du HAC, le renouveau du club << biancu è neru >>
Le renouveau du club << biancu è neru >>
Léa Bonin, capitaine courage du HAC
Arrivée il y a sept ans sous les couleurs du HAC, cette handballeuse talentueuse n’a pas manqué de faire son chemin en « biancu è neru ». Formée à Dijon, l’actuelle capitaine du club ajaccien a passé une dizaine de saisons dans la cité bourguignonne. Passée par le centre de formation, elle hume même le parfum de la première division. Un parcours prometteur avant de mettre le cap sur Narbonne (N1) pour trois saisons. C’est là-bas que Florian Sauvaget, dirigeant du HAC, va la chercher. « Je voulais retrouver le plaisir de jouer, avoue l’intéressée, et Florian a su me convaincre de venir à Ajaccio. Au HAC, j’ai découvert une grande famille autour du regretté José de Nobili. »
Quand elle arrive dans la Cité Impériale, le club est en N3 et Léa va connaître une première accession en N2 et plusieurs belles aventures. « Ces trois dernières saisons, reprend-elle, et au terme d’une belle progression, le club a joué l’accession à l’étage au-dessus. La première année, nous avons perdu en barrages face à un club alsacien. Puis, il y a eu la période Covid et l’arrêt des championnats. Enfin, la saison dernière, nous perdons trois matchs importants en janvier et cela nous coûte l’accession. Mais on ne désespère pas. »
Cette année, après une entame délicate, la capitaine ajaccienne n’est pas étrangère au renouveau de son club. « Il y a eu beaucoup de remous au sein du club. Avec les blessées, on n’a pas pu jouer sur notre valeur. Mais on revient progressivement. »
Après sept saisons passées en « biancu è neru », l’Ajaccienne de coeur âgée de 30 ans, compte bien rempiler et connaître l’étage au-dessus.
Ph.P.
Arrivée il y a sept ans sous les couleurs du HAC, cette handballeuse talentueuse n’a pas manqué de faire son chemin en « biancu è neru ». Formée à Dijon, l’actuelle capitaine du club ajaccien a passé une dizaine de saisons dans la cité bourguignonne. Passée par le centre de formation, elle hume même le parfum de la première division. Un parcours prometteur avant de mettre le cap sur Narbonne (N1) pour trois saisons. C’est là-bas que Florian Sauvaget, dirigeant du HAC, va la chercher. « Je voulais retrouver le plaisir de jouer, avoue l’intéressée, et Florian a su me convaincre de venir à Ajaccio. Au HAC, j’ai découvert une grande famille autour du regretté José de Nobili. »
Quand elle arrive dans la Cité Impériale, le club est en N3 et Léa va connaître une première accession en N2 et plusieurs belles aventures. « Ces trois dernières saisons, reprend-elle, et au terme d’une belle progression, le club a joué l’accession à l’étage au-dessus. La première année, nous avons perdu en barrages face à un club alsacien. Puis, il y a eu la période Covid et l’arrêt des championnats. Enfin, la saison dernière, nous perdons trois matchs importants en janvier et cela nous coûte l’accession. Mais on ne désespère pas. »
Cette année, après une entame délicate, la capitaine ajaccienne n’est pas étrangère au renouveau de son club. « Il y a eu beaucoup de remous au sein du club. Avec les blessées, on n’a pas pu jouer sur notre valeur. Mais on revient progressivement. »
Après sept saisons passées en « biancu è neru », l’Ajaccienne de coeur âgée de 30 ans, compte bien rempiler et connaître l’étage au-dessus.
Ph.P.